mercredi 31 décembre 2008

Les Bains de Kiraly de Jean Mattern


"Gabriel a bien tenté de croire au bonheur. Subjugué par Laura, il s’est arrimé à son rire et s’est employé à vivre au présent. Mais du jour où elle lui a annoncé qu’elle attendait un enfant de lui, il a pris la fuite, sans un mot...
Quand, après des mois d’errance dans Londres, il échoue par hasard dans une synagogue, les chants des hommes l’apaisent, et libèrent enfin sa parole. Il se lance alors dans l’écriture de cette longue confession, où le silence et la culpabilité dansent un vertigineux pas de deux.
De lui, de son enfance solitaire, de sa soeur aînée fauchée par un chauffard ivre, de ses parents murés dans leur deuil, de leur refus de rien lui révéler sur leur passé, il n’a jamais pu parler, ni à Laura, ni à son ami Léo. Jamais il n’a pu exprimer la vérité de ses sentiments. Et, si des mots il a fait son métier, c’est pour traduire ceux des autres, barricadé derrière une montagne de dictionnaires.
Quand, à la faveur d’une rencontre des traducteurs de Thomas Mann en Hongrie, une clef de son passé lui est révélée dans un cimetière de Budapest, ses souvenirs se bousculent : les phrases murmurées par ses parents dans une langue étrangère, la saveur de la cuisine magyare, la fascination pour la littérature de la Mitteleuropa qu’avait su éveiller en lui le vieux libraire du pays champenois où il a grandi...
Évoquant le désarroi existentiel et sentimental de cet homme fragile livré à lui-même, Jean Mattern écrit avec des accents justes et mesurés un lumineux roman des origines.
"

"Les Bains de Kiraly, premier roman de Jean Mattern, éditeur, a bien failli ne pas voir le jour, son auteur n’osant pas s’octroyer le droit de l’écrire et surtout de le publier, ce qui eût été regrettable pour nous...
Avec Les bains de Kiraly, Jean Mattern signe un très beau roman, dense, authentique, très attachant et vibrant d’émotion, et son style raffiné, musical et poétique nous séduit." Extraits de Bibliosurf.com

Editeur : Sabine Wespieser, 2008 144 p Prix public 17 €

samedi 27 décembre 2008

Peter Kassovitz : le retour

"Père de Mathieu, cinéaste comme son fils, Peter Kassovitz n'a pas tourné depuis 1999 : c'était Jakob le Menteur avec Robin Williams. Formé à l'Idhec, né en Hongrie, les 70 ans fraîchement passés, il prévoit de reprendre sa caméra en 2009 afin de tourner Pit - rien à voir avec Brad - une histoire entre un géniteur et sa descendance." La suite sur Toutlecine.com

vendredi 26 décembre 2008

Le printemps dijonnais sera… hongrois

"Pour 2009, le ton sera hongrois. Alors que dans le cadre de sa saison culturelle le musée des Beaux-Arts de Dijon organisera une exposition intitulée : « Fauvisme hongrois 1904-1914 : la leçon de Matisse », l'Opéra Dijon adoptera une programmation centrée autour de l'œuvre de Bartòk et l'institut de Sciences politiques de Dijon réfléchira sur l'histoire du pays. Dans le même temps, du 15 mars au 15 juin, l'association [Fenêtres ouvertes sur l'Europe] complétera le tout en organisant un cycle de conférences et une série de projections au cinéma de la rue Devosge, ainsi qu'un dîner hongrois et un voyage en septembre." Suite de l'article sur Bienpublic.com

mercredi 24 décembre 2008

Dialogues France-Europe centrale

Une association à l'avant-garde des tendances culturelles!
Son but ?
Promouvoir la culture des pays d'Europe centrale et plus particulièrement celle de la Hongrie. Nous mettons tout en oeuvre pour organiser de véritables rencontres entre les artistes, les écrivains, les intellectuels, français et centre-européens. En créant des liens forts, nous espérons favoriser les échanges ainsi que la création et la diffusion des oeuvres dans le but de participer au rapprochement des différentes cultures européennes.
Un site à découvrir

Soirée des Mardis hongrois de Paris du 23 décembre 2008 - Quelques images





D'autres images sur le site des Mardis hongrois de Paris

mardi 23 décembre 2008

Maison par maison le "Panama" d'Erzsébetváros - Panama házról házra az Erzsébetvárosban

Le quotidien national Népszabadság, démonte, maison par maison, dans un article atterrant, l'énorme scandale politico-immobilier du quartier juif de Budapest.
On retrouve quasiment les mêmes mécanismes. Pour simplifier :
Une société amie de la municipalité "achète", sans appel d'offre, à la municipalité des droits de propriété sur un immeuble pour un montant dérisoire, à condition qu'elle reloge les locataires. Puis il y a une cascade de reventes avec des flux de bénéfices successifs, à des sociétés off-shore de Chypre, d'Irlande, des Seychelles dont certaines font faillite. Au final, les habitants sont poussés à partir par différents moyens de pression alors qu'ils auraient selon la loi un droit de préemption, les immeubles classés sont démolis et dans le meilleur des cas des HLM de grande taille sont bâtis à leur place.
Et tout ceci se fait sous la houlette du conseil municipal et la complicité active de l'Office de protection du patrimoine culturel, le KÖH. L'enquête en cours devra déterminer qui est corrompu et qui agit ainsi pour d'autres motivations.
Pour le moment, cette affaire touche 9 suspects dont 3 individus sont en détention préventive.

Un exemple de la mécanique mise au point par les politiciens véreux du VIIème arrondissement.
"Selon les soupçons, le président du secrétariat financier municipal et l'investisseur, pour ne pas attirer les soupçons ont placé leurs petites amies comme dirigeantes de la société constituée entre eux. L'immeuble a été évalué initialement à 42,5 millions de forints (environ 170 000 €). La société véreuse a revendu ses droits d'acheteur potentiel avec un bénéfice de 95 millions de forints (environ 380 000 €) à un investisseur étranger. L'immeuble de style classiciste construit en 1891 a été démoli l'année dernière. (Voir la photo au 18 A, rue Rozsa)

"A gyanú szerint a bizottsági elnök és a vállalkozó, közösen alapított cégében - hogy ne derüljön ki az öszszeférhetetlenség - barátnőiket tették meg tagoknak. A szintén előzetesben lévő ingatlan-értékbecslővel az épületet az előre megbeszéltek szerint 42,5 millió forintra értékeltetik. A strómancég 95 millió forintos haszonnal adta tovább az ingatlan vételi jogát egy külföldi befektetőnek. Az 1891-ben épült, klasszicista lakóházat tavaly bontották le."
L'article complet dans Népszabadság du 23 décembre 2008

lundi 22 décembre 2008

Erzsébetváros: au-dessus des lois

"La police a arrêté le député du SZDSZ, György Gál, suspecté de fraude à grande échelle et d’autres crimes liés. Selon les accusations, le président du comité économique de la mairie du 7e arrondissement, Erzsébetváros, et un entrepreneur, György Nagy, ont coopéré afin de vendre 8 bâtiments, propriétés de l’autorité locale, à des sociétés offshore. La mairie a perdu 700 millions de HUF sur les ventes. Le parquet estime que le député du SZDSZ a perçu quelques 195 millions de HUF de György Nagy pour avoir rendu possible ces tractations. Le maire de l’arrondissement, György Hunvald est aussi soupçonné d’avoir participé à l’affaire car sa signature apparaît sur certains contrats." Lire l'article sur Le Journal francophone de Budapest

Hongrie: la grève des cheminots entre dans sa deuxième semaine

La grève des cheminots hongrois est entrée lundi dans sa deuxième semaine, sans qu'un accord n'ait été conclu entre direction et syndicat sur les augmentations salariales réclamées ni sur une garantie de trafic pour la période de Noël.
Selon la compagnie ferroviaire nationale MAV, les passagers doivent s'attendre ce lundi à des retards significatifs, des services partiels et des annulations de train.Le trafic était nul à la gare de l'Est à Budapest lundi matin, tandis que certains trains circulaient au départ et à l'arrivée des deux autres gares de la capitale hongroise.Dimanche, 55% des 2.661 trains de passagers ont circulé, certains avec des retards, a indiqué MAV dans un communiqué. La suite sur rtbf.be

dimanche 21 décembre 2008

András Derdák directeur de l'Institut hongrois de Paris

András Derdák, directeur de l'Institut hongrois de Paris nous parle de son bilan et de ses projets.
Deux interviews à voir et écouter sur les télévisions hongroises, en hongrois bien sûr.

MTV: http://www.mtv.hu/videotar/?id=34969

ATV: http://atv.hu/hircentrum/2008_dec_sikerult_felrazni_a_parizsi_m agyar_intezetet___video.html

samedi 20 décembre 2008

Les fauves hongrois, 1904-1914 au Cateau-Cambrésis

"Les peintres fauves hongrois entre 1904 et 1914, une exposition découverte de 116 peintures et 44 dessins, qui avant Dijon et après Céret, est présentée au Musée Matisse du Cateau-Cambrésis dans le Nord jusqu’au 22 février.
Chaque hiver au début du 20è siècle, de jeunes artistes hongrois venaient étudier à Paris puis retournaient peindre l’été et exposer chez eux, notamment dans le village d’artistes de Nagybanya.
Un mouvement pictural oublié pendant près d’un siècle et redécouvert en Hongrie à partir des années 2000. Dominique Szymusiak, conservatrice du musée Matisse du Cateau-Cambrésis est la commissaire de cette exposition.
"Fauves hongrois 1904-1914", au Musée Matisse du Cateau-Cambrésis dans le nord jusqu’au 22 février, puis au musée des Beaux arts de Dijon du 13 mars au 15 juin."
Source France-Info.com
Le site du musée

vendredi 19 décembre 2008

Vendredi 19 décembre : la grève des cheminots se poursuit

Aujourd'hui (vendredi 19 décembre 2008) il n'y a pas eu d'accord entre la compagnie de chemins de fer (MÁV) et le syndicat des cheminots (VDSZSZ) sur leur revendications.
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Ma sem született megállapodás a MÁV és a Vasúti Dolgozók Szabad Szakszervezete (VDSZSZ) között a szakszervezeti követelésekről és a még elégséges szolgáltatásról.
hvg.hu

"Hongrie: la grève continue, trafic ferroviaire toujours perturbé
Le trafic ferroviaire était toujours fortement perturbé vendredi matin en Hongrie en raison d'une grève des cheminots pour des hausses des salaires. Cette grève dure depuis dimanche.
"La grève continue avec le même élan vendredi", a déclaré un porte-parole du syndicat VDSzSz, qui réclame une hausse des salaires et le versement d'une prime de 929 euros par personne."
Suite de l'article sur rtbf.be

Hongrie: Budapest envisage une candidature pour les jeux Olympiques de 2020

"La capitale hongroise Budapest envisage de présenter sa candidature pour l'organisation des jeux Olympiques d'été de 2020, selon une décision unanime prise jeudi par le conseil municipale de la ville." La suite sur tsr.ch

jeudi 18 décembre 2008

Deux rois de l'opérette : Ferenc Lehár et Imre Kálmán

"Dans beaucoup de pays à l'approche des fêtes de fin d'année, la plupart des théâtres, même les plus sérieux, affichent une opérette. A Budapest, tout comme à Vienne, il n'est pas nécessaire d'attendre décembre, les opérettes y fleurissent à longueur d'année et il y a même des théâtres qui leur sont exclusivement réservés." Lire l'article sur le Podcastjournal.net

Et surtout si vous êtes de passage à Budapest, faites un détour par le Budapesti Operett Szinház, c'est Nagymezö utca.

Les éternels prisonniers


"Hongrois et tsigane, né près de la frontière roumaine, Bela Osztojkan est mort pendant l'été 2008, à 60 ans. Cette figure majeure de l'élite culturelle et politique rom, dont l'oeuvre restait inédite en France, a publié des poèmes, un conte théâtral et des récits qu'il est enrichissant d'explorer.

A en juger par les deux livres qui viennent d'être publiés chez Fayard, tous deux révélateurs d'un goût de l'histoire tragique et de l'imaginaire, de la légende et de la comédie humaine, Bela Osztojkan fit de la mort l'un de ses thèmes, et des divagations l'un de ses refrains. Les Allemands y rôdent avec les loups, des destins aussi épiques que misérables s'y racontent, dans l'odeur du chou et des charognes." La suite de l'article sur Le Monde du 18 décembre 2008

Joska Atyin n'aura personne pour le lui rendre et Le bon dieu n'est pas chez lui de Béla Osztojkàn
Traduit du hongrois par Patricia Moncorgé, Fayard, 392 p., et 290 p., 23 € et 19 €.

mercredi 17 décembre 2008

Institut hongrois de Paris : un mois de janvier prometteur...




Institut Hongrois de Paris - 92, rue Bonaparte 75006 Paris Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon
Bus : 58, 84, 89

La grève des cheminots hongrois affecte la Slovaquie

"Tous les trains rapides internationaux en direction de la Hongrie et traversant la Slovaquie d’où qu’ils proviennent - République Tchèque, Allemagne, Pologne et bien sûr de Slovaquie, doivent faire demi-tour aux 7 dernières gares frontalières slovaco-hongroises. La raison en est la grève générale déclenchée dimanche milieu de journée par les agents des chemins de fer hongrois." La suite de l'article sur Radio Slovakia International

Aimez-vous le vin de qualité?

"En cette période de fête qui approche, on ne peut négliger l'importance d'un bon vin pour accompagner les mets choisis que l'on ne manquera pas de confectionner ou de commander. Il y a en Hongrie de nombreux petits viticulteurs qui maintiennent la tradition en se débattant parfois au milieu de bien des difficultés." Un article à lire sur Lepetitjournal.com

mardi 16 décembre 2008

Imre Kertész et Boris Pahor Samedi 17 janvier 2009 à 15h00 au Théâtre de l'Odéon

l’Odéon-Théâtre de l’Europe, Culturesfrance, la Maison des écrivains et de la littérature et l’Institut Hongrois de Paris seraient heureux de vous accueillir, dans le cadre du Tour de France des écrivains européens, à la rencontre
Samedi 17 janvier 2009 à 15h

IMRE KERTÉSZ ET BORIS PAHOR
Rencontre animée par Sylvain Bourmeau
Imre Kertész, né à Budapest en 1929 dans une famille juive, a obtenu en 2002 le prix Nobel de littérature «pour une oeuvre qui dresse l'expérience fragile de l'individu contre l'arbitraire barbare de l'histoire», phrase qui pourrait s'appliquer tout aussi bien à l'oeuvre de Boris Pahor, écrivain slovène né en 1913 à Trieste.
Deux hommes que l'histoire européenne n'a pas épargnés – tous deux ont connu les camps de la mort – et qui savent corps et âme ce que coûtent les dérives racistes et nationalistes.
INVITATION VALABLE POUR DEUX PERSONNES
Merci de bien vouloir nous confirmer votre venue au 01 44 85 40 44 ou à present.compose@theatre-odeon.fr
Source : instituthongrois.fr

La grève ferroviaire se poursuit en Hongrie

Mardi 16 décembre à 12 h 28.
Le syndicat libre des travailleurs du rail (VDSZSZ) poursuit sa grève nationale de manière illimitée car les points de vue ne se sont pas rapprochés même lors des négociations de mardi matin entre le syndicat et l'exploitant du réseau ferré (MÁV) - a déclaré mardi István Gaskó, président du VDSZSZ. Selon Gaskó, 30 à 40 % des cheminots sont en grève, l'arrêt de travail coûte 700 millions de forints (environ 2,8 millions d'euros) chaque jour à la compagnie ferroviaire.

"A Vasúti Dolgozók Szabad Szakszervezete (VDSZSZ) határozatlan ideig folytatja az országos vasúti sztrájkot, miután a szakszervezet és a MÁV között nem közeledtek az álláspontok a kedd reggeli egyeztetésen sem - jelentette be Gaskó István, a VDSZSZ elnöke kedden. Gaskó szerint a vasutasok mintegy 30-40 százaléka sztrájkol, a munkabeszüntetés a vasúttársaságnak naponta mintegy 700 millió forint bevételkiesést okoz." Source HVG.HU

lundi 15 décembre 2008

Hongrie : trafics ferroviaire et aérien perturbés par la grève

"Le trafic ferroviaire était toujours paralysé lundi matin en Hongrie en raison d'une grève des employés du rail réclamant une hausse des salaires tandis que les vols depuis et vers l'aéroport de Budapest accusaient toujours des retards au 6e jour de la grève des employés." La suite de l'article sur Rtbf.be

Par ailleurs, une grève des chauffeurs de bus est prévue jeudi 18 décembre le matin.
"Megtartják a sztrájkot csütörtökön hajnali 4.30-tól délután 1 óráig a BKV buszos szakszervezetei - közölte Nemes Gábor, a sztrájkbizottság szóvivője hétfőn." Source HVG.HU

dimanche 14 décembre 2008

Hongrie : les cheminots reprennent leur grève

"Le syndicat des cheminots hongrois a repris samedi à minuit une grève d'une durée indéfinie.
La grève, motivée par une revendication salariale, a été lancée en février dernier avant d'être suspendue à plusieurs reprises." Suite de l'article sur Xinhuanet.com

samedi 13 décembre 2008

Hongrie: la grève continue à l'aéroport de Budapest

"La grève indéfinie à l'aéroport international de Budapest est entrée vendredi dans sa troisième journée, avec du personnel demandant des salaires et des conditions de travail améliorés.
Le porte-parole de l'aéroport Ferihegy, Domokos Szollar, a affirmé que le personnel de l'aéroport, dont une majorité du personnel de sécurité, était encore en grève mais l'aéroport avait recruté des travailleurs pour garantir ses opérations." Source xinhuanet.com

vendredi 12 décembre 2008

Goencz : Les Hongrois en Voïvodine n'ont pas besoin d'autonomie

"La ministre des Affaires étrangères de la Hongrie, Kinga Goencz a déclaré qu’il n’est pas réaliste de parler d’une autonomie territoriale pour les Hongrois dans la Province serbe de Vojvodine." Source glassrbije.org

Disparition d'Ophélie : une chute ?

"Ophélie Bretnacher, l’étudiante française de 22 ans disparue à Budapest le 4 décembre, serait tombée dans le Danube. C’est en tout cas la piste privilégiée par les policiers hongrois après avoir visionné les enregistrements de vidéosurveillance." Source elle.fr

Un article complet en hongrois sur Népszava

Les Juifs survivants hongrois de l'Holocauste ont reçu 10,9 M EUR de Berlin

"Un total de 10,9 millions d'euros de dédommagements ont été versés par le gouvernement allemand à près de 6.000 survivants juifs de l'occupation nazie de Budapest, a annoncé jeudi la Claims Conference, organisation juive chargée depuis 1951 de récolter ces fonds...
Avant la Seconde guerre mondiale, la communauté juive hongroise comptait 725.000 personnes, mais à la suite des déportations massives vers les camps de la mort à partir de 1944, ils n'étaient plus qu'environ 120.000 à la fin du conflit...
Actuellement, la communauté juive en Hongrie compte encore 80.000 membres sur une population totale de 10 millions d'habitants en Hongrie, ce qui en fait la seconde plus importante en Europe après la communauté juive de France." L'article complet sur Le Monde du 11 décembre 2008

jeudi 11 décembre 2008

Une statue à la mémoire de Ferenc Fejtő

Le premier ministre Ferenc Gyurcsány et le directeur du quotidien Népszava ont inauguré une statue érigée à la mémoire de Ferenc Fejtő dans le parc Saint Etienne (Szent István)

"A miniszterelenök és lapunk főszerkesztője leplezte le Fejtő Ferenc szobrát
Magyarország rokonszenves arca volt
Fejtő Ferenc életművének értékeire, ápolásának fontosságára figyelmeztettek sokan a neves gondolkodó portrészobrának avatásán szerdán a Szent István parkban. Számos neves politikus, közéleti személyiség, értelmiségi fontosnak tartotta, hogy együtt emlékezzünk lapunk tiszteletbeli főszerkesztőjére, aki 99 évesen távozott közülünk." L'article en hongrois dans Népszava

Hongrie: plus de 50 vols annulés à l'aéroport de Budapest par une grève

"Plus de 50 vols ont été annulés mercredi dans la matinée en raison d'une grève des employés de l'aéroport international de Budapest (Ferihegy), a annoncé un porte-parole de la société Budapest Airport.
...Au total près de 250 vols devaient être assurés mercredi au départ et à l'arrivée de Ferihegy. Le porte-parole a assuré que l'aéroport était capable d'accueillir les vols à l'arrivée mais "plusieurs compagnies ont annulé les vols à destination de Budapest à cause du trajet retour incertain"...
Organisée par le Syndicat des employés de l'aéroport et des prestataires de services (RDSZSZ) et par le Syndicat associé des transports aériens (LESZ), cette grève "générale et illimitée" est destinée à protester contre des modifications apportées à la convention collective des employés de l'aéroport." L'article complet sur Romandie.com

mercredi 10 décembre 2008

Eva Vincze : Le Renard et la petite Poule rousse - Le Lièvre et le Hérisson



J'ai le plaisir de vous convier à la présentation des ouvrages
Le Renard et la petite Poule rousse


ainsi que


Le Lièvre et le Hérisson
Samedi 13 décembre 2008 à 15 heures



à la librairie La Lucarne des Ecrivains
115 rue de l'Ourcq 75019 Paris
Téléphone : 01 40 05 91 29 M° Crimée



Quartier juif de Budapest - Une interview de Michel Polge, architecte, expert de l'ICOMOS-UNESCO

L'hebdomadaire culturel Magyar Narancs a interviewé Michel Polge à l'occasion de son passage à Budapest en novembre 2008. Michel Polge avait été missionné, il y a un an, en novembre 2007, par l'ICOMOS-UNESCO pour établir un diagnostic du quartier juif de Budapest, inscrit au Patrimoine mondial de l'UNESCO comme zone à protéger.

"Michel Polge architecte, auteur du rappport sur la situation de l’ancien quartier juif.

Magyar Narancs: A l'initiative des associations, vous êtes venu en Hongrie il y a un an en tant que chargé de mission, invité par l’Etat hongrois et par la ville de Budapest pour établir une expertise sur l’évolution de l’ancien quartier juif. Qu'est-ce qui a déterminé votre visite de l'époque ?

Michel Polge: Pour répondre il me faut préciser ce qu'est le patrimoine mondial. Le patrimoine mondial est un label. Tout Etat peut demander qu'une zone culturelle ou naturelle soit inscrite sur la liste du patrimoine mondial. Puis l’UNESCO examine la demande et accepte ou refuse tout simplement.
L'Etat hongrois, dès les années 80 avait demandé et obtenu l’inscription du quartier du château à Buda comme patrimoine mondial. Plus tard, après le changement de régime l'avenue Andrássy avec l’ancien quartier juif font aussi l’objet d’une demande qui est acceptée.
MN: L'avenue Andrássy est un lieu patrimoine mondial, le quartier juif est ce qu'on appelle sa zone tampon, territoire y conduisant. Quelle est la différence entre territoire du patrimoine mondial et la zone tampon ?
MN : Il n’y a pas de différence fondamentale. La zone tampon se situe autour du territoire du patrimoine mondial. C'est aussi une zone de protection qui n'est pas moins concernée par des obligations que le reste du périmètre patrimoine mondial. Les obligations du patrimoine mondial ne sont pas régies par des règlements, c'est un engagement moral de respecter les principales „vertus” patrimoniales du quartier concerné. Pour revenir à la question de la raison de ma venue à Budapest: des plaintes de l'association Óvás! sont parvenues au Comité du patrimoine mondial. La plainte portait sur le fait que des arrondissements vendaient des bâtiments de grande valeur architecturale et qu'à leur place se construisaient des bâtiments de qualité médiocre. Lorsqu'une plainte lui parvient, le Centre saisit l’Etat concerné et s'informe sur la situation. L'Etat hongrois a décidé, pour répondre aux questions posées dans les plaintes, de demander l'avis d'un expert.
MN : Pourquoi est-ce vous qui avez été demandé ?
MP: Précisons que les experts sont des volontaires, il ne reçoivent pas de rémunération. Moi, je suis architecte de formation, au service de l’Etat. Je pense que la raison qui a motivé ma venue est que j’ai une double expérience professionnelle: pendant 10 ans architecte en charge du patrimoine architecural et urbain, puis depuis 15 ans, architecte travaillant sur la réhabilitation des quartiers anciens, et en particulier sur l’habitat existant.
MN: J'aimerais, que vous puissiez dire pourquoi vous trouvez que le vieux quartier juif a de la valeur.
MP: Pourquoi faut-il expliquer cela ?
MN: Parce que pour l'opinion publique, ce n'est pas évident. C'est un secteur d'habitat dense, avec des appartements obsolètes, des immeubles en mauvais état.
MP: En règle générale l'opinion publique a tendance à donner de la valeur au très ancien, il est plus facile pour le grand public de respecter la vieille ville de Prague qu'une partie de ville du 19ème siècle. Ce quartier de la ville, dont le quartier juif fait partie, vous l'avez très bien deviné, dispose de valeurs urbanistiques remarquables et on y trouve beaucoup de styles de l'histoire de l'architecture. De surcroît, ce n'est pas un musée, mais un quartier vivant de la ville. Moi, je ne suis pas du genre à me battre contre vents et marée pour la conservation, mais je prétends qu'il est facile de réhabiliter ce quartier de la ville de grande qualité, qu'il est facile de le traiter selon les principes du développement durable. Il s'agit d'une partie de ville, belle, vivante, fonctionnant, bien que ce soit une population en majorité pauvre qui soit restée ici.
MN: Qu'est-ce qui vous permet de penser qu'il est facile de réhabiliter ?
MP: Un tel quartier de ville serait le rêve de n'importe quel urbaniste français. Chez nous beaucoup de villes sont construites de manière dense, il y a peu d'air, peu de places. Ici la trame viaire est parfaite. Les bâtiments ne sont pas trop élevés, il y a de la place entre eux, il y a de grandes cours lumineuses, on peut facilement transformer les immeubles existants pour des besoins modernes si on fusionne les appartements et éventuellement si on réunit les bâtiments. Pour obtenir la même chose dans beaucoup de villes française, il faudrait démolir la moitié des constructions! C’est ce qu’a dû faire Hausmann à Paris au 19° siècle. De plus, Budapest un exemple au plan mondial de l'urbanisme du dix-neuvième siècle, dont il n'en reste plus beaucoup au monde. Budapest est une des plus belles villes d’Europe, et une ville vivante, pas un musée.
MN: Quelle expérience tirez-vous de votre mission ?
MP: J’ai trouvé ici, l’an dernier, une situation parfaitement contradictoire, voire absurde..
MN: Pourriez-vous le définir ?
MP: Imaginez un peu: un ami hongois vous présente des bouteilles de Tokaji, il vous dit qu’il en est très fier, vous goûtez le vin et pensez que votre ami hongrois a raison… puis votre ami hongrois prend un marteau et commence à casser des bouteilles… C’est absurde, n’est-ce pas? Je suis arrivé un dimanche, les discussions ont commencé officiellement le lundi matin, mais à ce moment-là j'aurais pu déjà terminer mon rapport. Après tout la question était : ce qui se passe dans le quartier juif est-il compatible avec le titre de patrimoine mondial ? Sans ambiguïté ce n'est pas compatible. C'est absurde. Dans le même temps, ils ont demandé l’inscription au Patrimoine mondial et dans le même temps ont lieu des démolitions de bâtiments remplacés par d’autres bâtiments de moindre qualité architecturale et urbaine et, qui plus est, peu ou pas habités.

MN: Pourriez-vous expliquer cette contradiction ?
MP: Lundi à partir de 10 heures tout était axé là-dessus. C'est là que cela devenait intéressant pour moi. Quand on voit ce genre de choses on se dit qu'il y a un problème dans la famille. J'ai recherché quel était le problème.
MN: Et alors ?
MP: Il s'agit, selon moi, d'un problème structurel non pas d’une volonté délibérée de détruire. Le partenaire de dialogue du Comité du Patrimoine mondial c'est l'Etat. C'est lui qui est responsable du patrimoine mondial. C'est le Conseil municipal de la capitale qui est responsable des grands principes de l'aménagement urbain. Le droit de l’urbanisme est quant à lui entre les mains des mairies d'arrondissement. Par conséquent le pouvoir est réparti entre trois acteurs. Le quatrième acteur est l'argent, l’investissement privé. Ce nest pas le droit, pas les lois qui gouvernent en 1° lieu, mais l'économie. Les lois nous les faisons pour orienter l'économie, pour éviter le pire, pour réguler, encore faut-il agir tous dans le même sens. Ce qui m'est apparu évident, c'est que l'évolution actuelle du quartier est d'abord une question économique à travers des opportunités, plus que des choix délibérés. Les investisseurs, étrangers et hongrois, achètent les immeubles à l'arrondissement et les détruisent et remplacent comme ils veulent. L'investissement capitaliste est une chose positive, indispensable, mais ici il n'y avait rien ou presque qui le régule. Il manquait des outils de négociation pour la puissance publique à travers des avantages économiques pour l’investissement privé dès lors qu’il acceptait des conditions sociales, techniques, etc. Je ne veux pas me référer constamment au régime français, mais je le fais ici quand même: dans le but d'attirer l'investissement capitaliste, on intéresse les acteurs privés à ce qu'ils réhabilitent les immeubles en tant que bâtiment à usage d'habitat avec des contraintes sociales, techniques. En revanche, par exemple encore, on a instauré une taxe pour les propriétaires qui laissent des logements vacants. En d’autres termes „la carotte et le bâton” et des systèmes économiques „gagnant – gagnant”: chacun y trouve son avantage dès lors qu’il joue le jeu. Pour cela tout d'abord il faut que les autorités aient un projet urbain pour l’évolution indispensable des quartiers: sans projet, un quartier meurt, et à l’inverse en laissant les choses se faire d’elles-mêmes sans régulation, on risque des catastrophes. La règlementation de construction est presque une question secondaire. Je suis contre le fait que la règlementation résolve tout. Si elle arrête l'afflux des capitaux, qui aura l'argent pour rénover les maisons ? Il faut une réglementation, mais accompagnée de mesures économiques favorables à la fois aux intérêts publics et privés.
MN: Cet ordre de marche peut être imaginé à l'envers, de telle sorte que l'Etat considère la réhabilitation urbaine comme une cause publique évidente, et qu'il organise son régime fiscal dans cet intérêt, non ?
MP: Moi je crois, que le plus important c'est la volonté locale. Que les arrondissements aient une intention. Moi, ils ne m'ont jamais dit quelles étaient leurs intentions. Il est vrai que la mission était très courte… et que ma connaissance du hongrois ne dépasse pas encore 10 mots.
MN: Avec qui avez-vous discuté ?
MP: Avec les représentants de l'Etat, notamment l'Office de protection du patrimoine, avec des élus et techniciens de la capitale, avec des élus et techniciens des sixième et septième arrondissements, avec des associations, et j'ai demandé en même temps de pouvoir discuter avec des investisseurs, ce qui a été fait.
MN: Il en est tout de même sorti quelque chose des conceptions des arrondissements...
MP: On n'en est pas arrivé à ce niveau. Ils m’attendaient comme un juge, qui rende la justice. J'ai rapidement dit que ce qui se passait ici n'était pas bon, mais que l’important n’était pas de s’arrêter là mais plutôt de parler de ce qu'il est possible de faire. Ce n'est pas le fait d'avoir démoli des maisons et d'en avoir construit des nouvelles qui est le problème central pour moi, mais d’abord le fait d'avoir construit des maisons de faible qualité architecturale et urbaine et que beaucoup d’habitants qui faisaient la vie de ce quartier sont partis pour laisser la place à des logements trop souvent vides que leurs acheteurs n’habitent pas pour bonne partie. Il semblait que l’évolution du quartier n’était que lefruit d’un raisonnement économique trop à court terme et faisant courir un péril pour l’avenir urbain, pas seulement d’un point de vue patrimonial.
MN: Qu'avez-vous donc suggéré ?
MP: Ce ne sont pas des réponses définitives que j'ai souhaité donner, mais proposer des pistes. J'ai suggéré qu'ils créent un workshop, un atelier, pour lequel j’ai proposé mon aide. Le workshop peut aider les différents niveaux de la puissance publique sur différents thèmes, depuis la réflexion sur les incitations économiques jusqu'à la gestion de l'énergie dans l’habitat. Nous n’avons pas de solutions toute faites, pas de solutions miracles, mais une expérience construite dans beaucoup de villes patrimoniales qui peut être utile… ne serait-ce que pour ne pas risquer derépéter des erreurs que nous avons faites! Dans plusieurs pays le taux de la TVA est différent en construction neuve et en réhabilitation. Ceci a deux avantages : la réhabilitation se réalise mieux et on peut freiner le travail au noir. On peut parler d’outils économique divers. Vous voyez, je crois avant tout aux outils économiques qui permettent un deal favorable aux investisseurs privés et en même temps à l’intéreêt public. La réglementation est aussi utile, mais en accompagnement, surtout pas comme seule réponse: mieux vaut orienter l’énergie que tenter de la barrer. Il y a un autre sujet essentiel. Il est manifeste, que sur le plan de l'aménagement urbain, la distribution des rôles entre la capitale et les arrondissements génère des difficultés considérables, les arrondissements sont concurrents les uns des autres. Mais là s'arrête aussi mon rôle d’expert technique. La question ne dépend plus d'un expert étranger mais prend une tournure politique hongroise. C'est d'une décision politique que dépend ce qui arrive: mon travail s’arrête là.
MN : Il s'est écoulé un an, ont-ils cherché le pas en avant expérimenté avec la suggestion d'atelier ?
MP : S'ils l'ont cherché ? Qu'en pense une journaliste ?
MN : Je suppose qu'ils ne l'ont pas cherché.
MP : Ce qui s'est passé en un an, c'est que le Centre du patrimoine mondial a réagi sur la base de mon avis d'expert, il a notifié à l'Etat hongrois, que l'état du quartier juif le remplit d'inquiétude”… ce qui dans la langue diplomatique n’est pas rien!. Autrement dit l'Etat hongrois est confronté à une situation difficile. Ajoutons que ma mission s’est déroulée pour moi de façon très intéressante et les discussions avec les services de l’Etat et de Budapest capitale très enrichissantes pour moi: c’est un plaisir de travailler à Budapest, mêms si, d'après mon impression personnelle, je n’étais pas le bienvenu pour les arrondissements : que Polge retourne en France! Lorsque je dis cela je ne juge pas, je n'ai même pas à porter de jugement. Cela mettait seulement l'éclairage sur le fait qu'il y a un problème structurel. Mais ce n’est pas à moi de le résoudre. Maintenant, attendons les réponses qui seront données. Selon vous qu'est-ce qui est essentiel ?
MN : Je vois deux problèmes essentiels, l'un est culturel, j'entends par là , que simplement puisse se poser comme question, pourquoi ce quartier a de la valeur. Le deuxième est économique : c'est ainsi que je le vois, qu'il est indicible qu'il y ait un consensus dépassant les partis, sur le fait que le patrimoine puisse être utilisé à des fins économiques dépassant celles de l'intérêt du développement du quartier, autrement dit puisse servir des intérêts privés ou précisément le financement des partis.
MP : A la base cela ne change rien à la question qui m’était posée que l'acteur économique privé donne de l'argent aux partis ou le donne au bar de nuit ou à une association catholique. Et s’il y a des problèmes de morale politique, ce n’est pas à moi d’en juger mais aux Hongrois.
MN : Je pense seulement qu'il est possible de faire de la réhabilitation urbaine de qualité si l'économie finance en même temps les partis, c'est pourquoi c'est aussi une question culturelle. Et vous qu'en pensez-vous ?
MP : Ce n'est pas à moi d'exprimer une opinion là-dessus. Moi, je peux parler de la partie technique. La Hongrie est une une démocratie et je viens donc ici sans aucun problème. Si cette démocratie a des problèmes, ce n’est pas à moi d’en juger mais à vous, Hongrois..
MN : La situation est-elle assez absurde pour que l'UNESCO place le quartier juif de Budapest en péril ?
MP : Actuellement nous en sommes au stade où l'UNESCO a signifié que ce qui se passe ici n'est pas compatible avec le titre de patrimoine mondial. La Hongrie doit rendre compte d'ici février de ce qu'elle a fait jusqu'à présent. A-t-elle réalisé une règlementation qui protège les valeurs du secteur, a-t-elle fait naître les conditions économiques de la réhabilitation du patrimoine ? Pour le moment je n'ai pu faire l'expérience que d'une détérioration évidente mais nous verrons bien et le moins que l’on puisse dire est que le sujet de l’ancien quartier juif ne laisse pas ici indifférent. C’est en soi très bon signe. L’inertie est la pire des choses et ici les choses ne sont pas inertes. De plus, ce que je trouve intéressant en tant que spectateur extérieur c'est que les représentants de la société civile viennent et s’expriment. La question n'est pas de savoir si Óvás! et les autres associations ont raison ou pas, mais que se dresse un acteur qui trouve difficilement sa place, la société civile, les électeurs de base. Le seul fait que cet acteur soit présent dans le débat général est une „valeur ajoutée” qui prouve que quelque chose se passe. Qu’est-ce que c’est qu’un bon projet? C’est un projet où personne ne trouve tout ce qu’il voulait mais où, quand même, chacun trouve assez pour être satisfait."

Traduction en français : Jean-Pierre Frommer


Soirée des Mardis hongrois du 9 décembre - Quelques images de la soirée "Fauves hongrois"


Très belle soirée dédiée aux "Fauves hongrois" en présence des conservatrices des musées de Cateau-Cambrésis où se déroule l'exposition encore pour quelques semaines jusqu'au 22 février 2009 et de Dijon l'exposition ira se donner à voir du 13 mars au 15 juin 2009. Parmi les convives, Adam Biro, l'éditeur du très beau catalogue de l'exposition qui est une réalisation collective de très haute tenue. Cette publication qui réunit des contributions scientifiques de spécialistes des deux pays — universitaires et conservateurs — est l'occasion d'appréhender la perception et la réception du fauvisme hongrois en France et celles du fauvisme français en Hongrie.

D'autres images de la soirée sur le site "photos" des Mardis hongrois de Paris

Duel de quadras au pays magyar

"Le duel Orban-Gyurcsany : comme nulle part en Europe, la Hongrie vit au rythme de ces deux leaders, quadras brillants et charismatiques, durablement incrustés, peu menacés par la relève. La crise que traverse la Hongrie, récemment menacée de faillite, l'a exacerbé."
La suite de l'article sur Le Monde du 9 décembre 2008

mardi 9 décembre 2008

Une nouvelle star de l'extrême droite hongroise

"A l'ombre du duel Gyurcsany-Orban, elle est une autre bénéficiaire de la crise. Krisztina Morvai, 45 ans, fille d'une top-modèle et d'un économiste opposé à la dictature communiste, a la blondeur candide et une tchatche d'enfer. Elle est féministe et avocate des droits de l'homme, enseigne le droit pénal à l'université de Budapest, a étudié au King's College de Londres, travaillé à New York et à Strasbourg.
Ces temps-ci, elle est en tournée en Hongrie avec la Garde hongroise, une formation paramilitaire dont les membres défilent au son du tambour dans des costumes qui évoquent ceux des Croix fléchées (l'ancien parti fasciste hongrois)." La suite de l'article sur Le Monde du 9 décembre 2008

L'étau se resserre sur les pratiques corrompues des politiciens du VIIème arrondissement de Budapest

"Où conduisent les fils du panama d'Erzsébetváros ?
Démarrée très lentement, l'enquête sur le scandale immobilier d'Erzsébetváros s'est accélérée. Après deux années, ces deux dernières semaines, c'est déjà la neuvième personne, - parmi eux deux politiciens - qui sont soupçonnées d'avoir participé à la vente des immeubles de la municipalité en dessous de leur valeur réelle..."

Hová vezetnek az erzsébetvárosi panama szálai?

Amilyen lassan indult, most annyira felgyorsult a nyomozás az erzsébetvárosi ingatlanbotrány ügyében. Két év után az utolsó pár hétben már a kilencedik személyt, – köztük a második politikust – gyanúsítják meg azzal, hogy közreműködött önkormányzati ingatlanok áron aluli eladásában. Lista a gyanú szerint az ingatlanügyekbe belekeveredett magyar és offshore cégekről, valamint tulajdonos-ügyvezetőkről.
La suite de l'article sur HVG.HU

Budapest sur son 31

"Les Hongrois fêtent les 135 ans de leur capitale née de la réunification de Buda et Pest. Le réveillon du Nouvel An s'y annonce haut en couleur et très culturel.

Budapest a pavoisé les ponts qui enjambent avec grâce le Danube. Si les deux rives ont donné naissance à une grande capitale, aucune des deux n'a abdiqué sa singularité. Le partage est parfait : à Buda, les collines, les rues pavées, les édifices baroques et à Pest les larges avenues, les immeubles cossus, l'architecture grandiloquente, les tramways bringuebalants, les bruits de la ville. Plus qu'une capitale, Budapest a été durant tout ce XXe douloureux, l'affirmation d'une forte identité." Lire l'article sur LeFigaro.fr

L’inquiétante disparition d’Ophélie, étudiante française à Budapest

"Hier matin, Sylvie et Francis Bretnacher ont pris la route de Vienne, en Autriche, où ils travaillent, pour Budapest (Hongrie). Leur fille Ophélie, 22 ans, brillante étudiante de l’Ecole supérieure de commerce de Reims, a disparu depuis le 4 décembre au petit matin après une soirée dans une discothèque de la capitale hongroise. La jeune fille, adepte du semi-marathon, achevait un master en finances à la faculté Cornivus de Budapest dans le cadre des échanges universitaires Erasmus.

La police hongroise a ouvert une enquête pour disparition inquiétante." La suite de l'article sur Leparisien.fr

Voir aussi l'appel à témoins lancé par lepodcastjournal.net

Idées cadeaux pour un Noël hongrois


"Fauves hongrois 1904-1914" (ouvrage collectif éditions Biro éditeur).
L'ouvrage sera disponible au prix public de 39 € l
ors de la soirée des Mardis hongrois de Paris, le 9 décembre 2008 à partir de 20 heures à la Brasserie Flam's 62, rue des Lombards 75001 Paris Métro Châtelet
ou dans toute bonne librairie.

Biro éditeur, 11 rue des Arquebusiers, F 75003 Paris
florence@biroediteur.com
http://www.biroediteur.com/
+33 (0)1 49 96 43 92 fax + 33 (0)1 49 96 09 20

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A commander chez www.clavisfilms.com

Une section hongroise au Lycée international de Saint-Germain en Laye ?

Communiqué de l'Association pour une école hongroise

Nouvelles de fin d’année 2008

L’Association pour une Ecole Hongroise vous informe que :
• Nous avons obtenu deux subventions de la Commission Européenne dans les programmes Gruntvig et Leonardo. Cette reconnaissance européenne nous permettra de continuer nos programmes culturels et de former nos professeurs en participant á un travail international avec des partenaires européens.

• Le 2 décembre 2008 grâce á Mme Zsuzsa Szabo notre lettre a été transmise -avec notre souhait de créer une section hongroise au Lycée International de Saint Germain en Laye - au Premier ministre M Ferenc Gyurcsány au cours d’une réunion concernant les hongrois extra frontaliers. Nous remercions ici M Gyurcsány qui a répondu : « Vous allez avoir votre professeur ». M Gyurcsány a souligné que l’enseignement de la langue maternelle est une question clé.

L’Association pour une Ecole Hongroise vous sollicite :
• pour remplir en français et en hongrois, et signer une « déclaration d’intention de scolarisation au Lycée International de Saint-Germain-en-Laye» pour chaque enfant concerné par la section hongroise et nous l’envoyer par la poste á l’adresse suivante :
L’Association pour une Ecole Hongroise
Maison des Associations 3, rue de la République
78100. Saint-Germain-En- Laye

L’Association pour une Ecole Hongroise vous remercie pour :
• Votre soutien dans la démarche effectuée pour l’ouverture d’une section hongroise au sein du Lycée International de Saint-Germain-en-Laye.


L’Association pour une Ecole Hongroise vous souhaite
De très belles fêtes de fin d’année !


« Promets-moi qu’un jour, on ira tous les deux sur la lune…
Demain par exemple ! »


Ev végi hirmondo 2008


A Magyar Iskolért egyesület tudatja Önnel, hogy:
* Egyesületünk elnyert két pályázatot az Európai Bizottságtól, a “Gruntvig” és a “Leonardo” programok keretén belül. Ez az európai szintű elismerés lehetővé teszi számunkra, hogy folytathassuk kúlturális programjainkat, és tanárainkat továbbképezzük arra, hogy a magyar nyelvet mint idegen nyelvet oktathassák és europai partnereinkkel egy összehasonlító nemzetközi munkában vehetnek részt.

* 2008 december 2-án Szabó Zsuzsának köszönhetően Gyurcsány Ferenc Miniszterlnök Úrhoz intézett levelünk - amelyben a Magyar szekció megnyitását kérjük a Saint-Germain-en-Laye-ben működő nemzetközi iskola keretén belül - átadásra került a “Határon túli magyarok találkozóján”. Itt szeretnénk köszönetet mondani Gyurcsány Ferenc Úrnak aki azt válaszolta, hogy “Lesz maguknak oktatója”, szerinte kulcskérdés az anyanyelvű oktatás.

A Magyar Iskolért egyesület arra kéri Önt, hogy:
* minden egyes gyermekére vonatkozóan töltsön ki egy “ Saint-Germain-en-Laye-ben müködö nemzetközi iskolába történö beiratkozási szándéknyiltakoztatot” franciául és magyarul, s kérjük juttassa el azt a következő címre:
L’Association pour une Ecole Hongroise
Maison des Associations 3, rue de la République
78100. Saint-Germain-En- Laye

A Magyar Iskolért egyesület megköszöni Önnek, hogy:
* Támogatja az egyesület erőfeszítéseit egy magyar szekció létrehozásának érdekében a Saint-Germain-en-Laye-ben működő nemzetközi iskola keretein belül.


A Magyar Iskolàért egyesület Békés boldog ünnepeket kíván Önnek


“Igérd meg, hogy egy nap mindketten felmegyünk a holdra… Holnap például”

lundi 8 décembre 2008

Baigneurs de nuit à Budapest - Galerie de photos - Fotógaléria - éjszakai fürdőzők Budapesten

Eté comme hiver, de jour comme de nuit, à Budapest on se baigne dans des eaux délicieusement chaudes. Voir les galeries d'images sur hvg.hu et en cliquant sur la photo

Conférence de presse mercredi 10 décembre 2008 - Sajtótájékoztató 2008. december 10-én



Invitation

Conférence de presse sur la nouvelle situation du quartier juif de Budapest :
son présent et son avenir
mercredi 10 décembre 2008 à 11 heures du matin
avec café et croissant.
Lieu : Café Spinoza, 15, rue Dob - Budapest VIIè
Vous êtes tous les bienvenus
Association ÓVÁS!
Association Nagydiófa

La situation qui s'est développée dans le vieux quartier juif de Budapest donne à la fois des raisons de confiance et d'inquiétude. D'un côté il est heureux que les autorités aient enfin engagé l'examen des transactions suspectes menées dans ce quartier depuis des années et des dizaines d'années. D'un autre côté, la dégradation de l'état du quartier durant la lenteur évidente des procédures judiciaires, donne des sources d'inquiétude. Les maisons restent vides, à moitié démolies, les habitants vivent dans une complète incertitude, car leur maison a déjà été vendue à leur insu, mais ils n'ont aucune idée de ce qui va leur advenir. Pendant ce temps, se poursuivent les tiraillements incompréhensibles sur l'avenir du quartier, entre les municipalités de l'arrondissement et de la capitale ainsi qu'avec un triangle des Bermudes défini par l'autorité de protection du patrimoine culturel. Le thème de notre conférence de presse est de faire connaître les problèmes de droit, d'architecture et de société qui se sont créés en rapport avec le quartier, l'esquisse des possibilités d'alternative répondant aux attentes de l'UNESCO et à nos souhaits dont vous informeront le dr. Katalin Bakó , le dr. László Hoffmann , János Ladányi et Anna Perczel.



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MEGHÍVÓ
A pesti zsidó negyed jelene és jövője a kialakult helyzetben
témájú
2008. december 10-én, szerda délelőtt 11 órakor,
kávé és croissant mellett tartandó
SAJTÓTÁJÉKOZTATÓNKRA
Helyszín: a Spinoza kávéház, VII. Dob utca 15.
Mindenkit szeretettel várunk
ÓVÁS! Egyesület
Nagydiófa Egyesület


A régi pesti zsidónegyedben kialakult helyzet egyszerre ad bizakodásra és aggodalomra okot. Egyfelől örvendetes, hogy végre megindult azoknak a több mint gyanús ügyleteknek a hatósági vizsgálata, melyek ebben a negyedben már évek, évtizedek óta folynak. Másfelől aggodalomra ad okot, hogy a nyilván igen hosszadalmas jogi procedúra alatt is tovább romlik a negyed állapota. Házak állnak üresen, félig lebontva, lakók élnek teljes bizonytalanságban, mert házukat már eladták a fejük fölül, de fogalmuk sincs, hogy most mi fog történni velük. Közben tovább folyik a kerület jövőjével kapcsolatos értelmetlen huzavona a kerületi és a fővárosi önkormányzat, valamint a műemlékvédelmi hatóság által meghatározott Bermuda-háromszögben.
Sajtótájékoztatónk témája a negyeddel kapcsolatban kialakult jogi, építészeti és társadalmi problémák ismertetése, az UNESCO elvárásainak és az általunk kívánatosnak tartott alternatívák lehetőségének felvázolása, melyekről dr. Bakó Katalin, dr. Hoffmann László, Ladányi János és Perczel Anna tájékoztatja Önöket.


samedi 6 décembre 2008

Découvrir la Hongrie, la Roumanie et la République tchèque au Centre tchèque le 9 décembre 2008




Traiteur hongrois à Paris



Chers Gourmets de cuisine hongroise,
Nous vous remercions pour l'intérêt que vous avez manifesté pour notre service traiteur. Afin de pouvoir satisfaire vos demandes pour les fêtes de fin d'année, nous vous prions de passer vos commandes avant le 12 décembre. Joyeuses fêtes à vous tous.
Gustativement vôtre,
Gyöngyi Balajthy
rendeles.hu@gmail.com

Sucreries et douceurs hongroises... par voie postale

Je voudrais attirer votre attention sur notre page web http://www.szaloncukorposta.hu/ . Ce portail s'adresse particulièrement aux Hongrois de l'étranger pour qu'ils n'aient pas à demander à leurs familles de leur envoyer des sucreries. Nos prix sont équivalents à ceux du petit commerce voire inférieurs, seuls les frais postaux sont à rajouter, qu'il faudrait règler en tout état de cause. Si vous pouvez regrouper plusieurs commandes, les frais sont nettement réduits.

******
Szeretnem uj, http://www.szaloncukorposta.hu/ oldalunkat a figyelmukbe ajanlani. A portalt sajat tapasztalat alapjan, kifejezetten a kulfoldon elo magyarok szamara hoztuk letre, hogy ne kelljen a hazai rokonoktol szivesseget kerni a szaloncukor kuldesben. Araink magyar kiskereskedelmi arak -neha meg olcsobbak is valamivel, igy csak a postakoltseg rakodik rajuk, amit egyebkent is ki kellene fizetni. A posta, ha esetleg sikerulne tobb rendelest osszefogni, lenyegesen olcsobb.

Koltay Miklos

jeudi 4 décembre 2008

Mardis hongrois de Paris : prochaine soirée le 9 décembre 2008 à la brasserie Flam's


Soirée des Mardis hongrois dédiée aux "Fauves hongrois" le 9 décembre 2008

Présentation par les directrices des musées de Cateau-Cambrésis et Dijon et par les éditeurs du catalogue de l'exposition Fauves hongrois 1904 – 1914, exposition très importante, avec plus de 200 oeuvres.

"Fauves hongrois 1904-1914" (ouvrage collectif éditions Biro éditeur)
Biro éditeur, 11 rue des Arquebusiers, F 75003 Paris
florence@biroediteur.com
http://www.biroediteur.com/
+33 (0)1 49 96 43 92 fax + 33 (0)1 49 96 09 20
Lors de la soirée l'ouvrage sera disponible au prix public de 39 €.

En 2006 a eu lieu une exposition à la Galerie Nationale Hongroise de Budapest, sous le titre Fauves hongrois, de Paris à Nagybánya, 1904-1914. Il s'agissait de poursuivre, sept ans après la grande exposition parisienne Le Fauvisme ou l'Épreuve du feu, la réflexion sur la diffusion du fauvisme français en Europe centrale, et plus particulièrement en Hongrie. Bien que centrée sur ses artistes nationaux, l'exposition de Budapest s'était aussi intéressée à cette confrontation entre l'art de Matisse et de son cercle (Derain, Braque, Friesz, Vlaminck, Dufy, Van Dongen, Camoin, Manguin, Marquet…) et l'expression hongroise du fauvisme.

Les trois étapes de l'exposition, Céret (du 21 juin au 12 octobre 2008), Cateau-Cambrésis (du 25 octobre 2008 au 22 février 2009) et Dijon (du 13 mars au 15 juin 2009) sont accompagnées par un catalogue, publié par Biro éditeur. Cette publication qui réunit des contributions scientifiques de spécialistes des deux pays — universitaires et conservateurs — est l'occasion d'appréhender la perception et la réception du fauvisme hongrois en France et celles du fauvisme français en Hongrie.

Outre la présentation chronologique et thématique de cette révolution artistique majeure du modernisme hongrois, l'exposition et le catalogue ont pour objectifs de dégager et de comparer les caractéristiques des lieux emblématiques du fauvisme hongrois (Paris, Nagybánya, Nyergesújfalu, Budapest). Ils permettent, en outre, d'attirer l'attention des visiteurs sur les affinités et les disparités entre ces deux tendances du fauvisme européen, en mettant en évidence les spécificités du fauvisme hongrois dont les racines sont à rechercher dans la tradition nationale et la peinture française. À côté des genres picturaux traditionnels, tels que le paysage, la nature morte, le nu et le portrait, avec une prédilection caractéristique du fauvisme pour l'autoportrait et le portrait d'artiste, sont évoqués des thèmes caractéristiques de l'époque, comme l'exotisme, illustré en Hongrie par le motif des tziganes, emprunté autant à la vie paysanne qu'à la thématique de la gitane, si chère à Matisse et à Van Dongen.




La prochaine soirée des Mardis hongrois de Paris aura lieu le 9 décembre 2008, à partir de 20 heures à la Brasserie Flam's, 62, rue des Lombards 75001 Paris - Métro Châtelet

Marché de Noël et danse hongroise à l'Institut hongrois de Paris - Vendredi 12 décembre 2008

Marché de Noël
Vendredi 12 décembre 2008 à 16h00
Institut Hongrois de Paris
Dans le cadre de l'atelier de danse hongroise, un marché de Noël sera organisé avec des artistes et artisans hongrois vivant à Paris, qui proposeront des oeuvres sorties de leurs ateliers. Livre-objets, pains d'épices décorés, illustrations pour enfants, peintures, bijoux... des cadeaux exceptionnels que vous ne trouverez nulle part ailleurs.
Entrée libre

ATELIER DE DANSE HONGROISE POUR ENFANTS
Vendredi 12 décembre 2008 à 18h30
Pour cette soirée à l'Institut hongrois, les enfants, petits et grands, sont invités à découvrir ces danses typiques venues des quatre coins de la Hongrie. Et pour accompagner la bonne humeur que procure cette danse, un buffet composé de spécialités hongroises vous attend ! Avec l'ensemble Merkati.
Entrée : 5/3€

ATELIER DE DANSE HONGROISE POUR ADULTES
Vendredi 12 décembre 2008 à 20h00
Institut Hongrois de Paris L'orchestre Merkati et un couple de danseurs viennent tout spécialement de Budapest pour vous faire découvrir tout l'éventail des danses traditionnelles de Hongrie et de Transylvanie. Les danseurs professionnels, vêtus de leurs tenues traditionnelles, vous feront partager tout le plaisir simple et retrouvé de danser ensemble.
Entrée : 5/3€

Institut Hongrois de Paris - 92, rue Bonaparte 75006 Paris Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon
Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
http://www.instituthongrois.fr/