lundi 10 mars 2008

Référendum en Hongrie : Gyurcsány menace ... les médecins, les hôpitaux, les universités

"Le gouvernement a déjà préparé les modification de la loi, rendues nécessaires par les résultats du référendum. Ceci signifierait qu'à partir du 1er avril, les forfaits hospitaliers, de visite chez le médecin et les droits d'inscription à l'université seraient supprimés. Ferenc Gyurcsány dans le même temps a fait savoir que les sommes ainsi perdues ne pourraient pas être compensées à quiconque par le gouvernement." Source Népszava du 10 mars 2008

Est-ce un message à l'endroit de Bruxelles qui impose ces politiques dans toute l'Europe et qui exerce des pressions constantes sur le gouvernement hongrois ?
En réalité, le Premier ministre retourne le vote ainsi exprimé en menaçant les médecins, les hôpitaux et les universités de leur serrer la vis.
En tout cas une bonne nouvelle : quand le peuple est consulté sur les contre-réformes qui le touchent, il s'exprime... Une démocratie sans peuple c'est tout de même plus confortable.


A kormány már elkészítette azt a törvénymódosítást, amely a referendum, eredményessége nyomán szükségessé váló intézkedéseket tartalmazza. Ez azt jelenti, hogy április elsejétől megszűnne a kórházi napidíj, a vizitdíj és a tandíj is. Gyurcsány Ferenc azonban azt is közölte, a kieső összegeket a kormány senkinek sem tudja pótolni...

Gyurcsány ugyanakkor hozzátette azt is, hogy azt a bevételt, amit a népszavazás elvont az orvosoktól, a kórházaktól és a felsőoktatási intézményektől, a költségvetésnek nincs módja pótolni, a kormánynak pedig nincs szándékában, hogy ezt megtegye.
Source Népszava du 10 mars 2008

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