mardi 30 juin 2009

"Attila" par Michel Rouche

"Surnommé "le fléau de Dieu", le chef des Huns est considéré comme le modèle du barbare sauvage et sanguinaire. La réalité est toute autre. Ce livre d'histoire se lit comme un roman, un formidable roman d'aventures." La suite sur latribune.fr

"Attila" par Michel Rouche, Fayard, 515 pages, 26 euros

Le Languedoc–Roussillon rencontre la Hongrie...à Junas

"Du 15 au 18 juillet 2009, le festival Jazz à Junas, dans les belles Carrières antiques de Junas, nous découvrirons le jazz hongrois qui, héritier d'une longue tradition musicale, fait une large place à l'improvisation." La suite sur mediapart.fr

Hongrie : impôt sur le revenu allégé, création d'une taxe sur le patrimoine

"Le Parlement hongrois a adopté lundi la loi fiscale 2010 qui allège l'impôt sur le revenu mais introduit une taxe sur le patrimoine dans un effort pour relancer l'économie du pays en récession.Selon les dispositions adoptées, le taux d'imposition de la tranche inférieure passera de 19% à 17% et celle-ci sera élargie jusqu'à 5 millions de forints de revenus (18.100 euros) contre 1,9 million (6.879 euros) précédemment. Le taux d'imposition de la tranche supérieure passera à partir de janvier de 36% à 32%." La suite de l'article sur lesechos.fr du 29 juin 2009

lundi 29 juin 2009

Wladimir Anselme & les Atlas Crocodiles en concert Jeudi 2 Juillet - 20h30 aux Trois Baudets

Dans le cadre du festival Les Zéphémères / Première partie : Thibaut Derien
Csaba Palotaï / guitares, banjo
Boris Boublil / orgues électriques, minimoog
Marion Grandjean / batterie
wladimiranselme.free.fr
www.myspace.com/wladimiranselmemusic
Les Trois Baudets / 64 bd de Clichy 75018 Paris - M° Blanche
réserver

www.lestroisbaudets.com

samedi 27 juin 2009

Voilà bien ce dont les Hongrois ont besoin...

"Hard Rock Café veut ouvrir le plus grand casino d'Europe en Hongrie
L'exploitant américain de casinos qui possède la chaîne de bars Hard Rock Café va construire en Hongrie le plus grand complexe de jeux d'Europe, a-t-il annoncé vendredi.
«Il s'agit d'un projet gigantesque avec un investissement de 5 milliards d'euros en dix ans», a déclaré Jim Allen, le président du groupe Seminole Hard Rock Entertainment, lors d'une conférence de presse à Budapest." La suite sur lapresseaffaires.cyberpresse.ca

Baudelaire traduit par les poètes hongrois de Ildikó Józan


Baudelaire traduit par les poètes hongrois
Ildiko Jozan
Paris : Presses de la Sorbonne nouvelle, coll. "Page ouverte", 2009.
23 EUR
Présentation de l'éditeur :
Le présent livre explore la modernité poétique hongroise et européenne à partir d'une perspective concrète : la traduction pratiquée par les plus grands poètes hongrois du XXe siècle. La Hongrie entre dans la modernité, en se mettant à l'école de Baudelaire, de Verlaine, de Rimbaud et de Mallarmé.L'ouvrage aborde les questions théoriques autant que pratiques de la traduction. Mais sa perspective est poétique : remettre, comme elle le mérite, la Hongrie dans le concert de la poésie européenne. Les années qui précèdent la Première Guerre mondiale et voient se déployer l'activité de la revue Nyugat (Occident) sont ici déterminantes. Passeur irremplaçable, l'auteur ouvre son étude aux figures contemporaines, celle de György Somlyó, par exemple. Le public français appréciera le renouveau que Baudelaire introduit dans les lettres hongroises et l'élan qui naît aux rives du Danube."
Source fabula.org

Petit Psaume du matin avec Josef Nadj et Dominique Mercy - Maison des métallos du 28 au 30 juillet 2009

"Voilà bien Josef Nadj : on lui commande un solo, et il imagine… un duo. Avec Dominique Mercy, danseur emblématique de Pina Bausch, il fait défiler une série de tableaux drolatiques et grinçants, émouvants et rêveurs. Jumeaux et dissemblables, les deux danseurs traversent ensemble une série de rituels mystérieux, entre farce, liturgie et superstition. Alors que la musique voyage du Cambodge à l’ Egypte, le duo retombe en enfance, s’animalise ou anticipe la vieillesse à venir. Une destinée qui s’accomplit comme une fameuse prophétie : sur quatre pattes, puis sur deux, puis sur trois. Tout en connivence et en partage, ce Petit psaume du matin est sans doute finalement un solo. Selon Josef Nadj, “Il s’agit de prendre l’être même de l’autre comme un trésor fragile et précieux, qu’il faut protéger.” Suite de l'article sur belleville-village.com

Les 28, 29 et 30 juillet à 20h00.
Maison des Métallos
94 rue Jean-Pierre Timbaud 75011 - Paris
Tél. : 01 48 05 88 27 fax : 01 48 05 88 21
Plus d'information sur Maison des Métallos
http://www.maisondesmetallos.org/

Josef Nadj et Akosh Szelevényi : Les Corbeaux à la Maison des Métallos les 25 et 26 juillet 2009

"Cela commence comme un roman célèbre : “Lorsque Josef Nadj s’éveilla un matin, au sortir de rêves agités, il se trouva dans son lit métamorphosé en corbeau.” Porté par les vagabondages musicaux de son complice Akosh Szelèvenyi, le danseur devient tour à tour homme-oiseau et homme-plume, corbeau de malheur et malheureux oiseau goudronné." La suite sur belleville-village.com
Informations et réservation sur
www.quartierdete.com
- 01 44 94 98 00
Les 25 et 26 juillet à 20h00.
Maison des Métallos
94 rue Jean-Pierre Timbaud 75011 - Paris
Tél. : 01 48 05 88 27 fax : 01 48 05 88 21
Plus d'information sur Maison des Métallos
http://www.maisondesmetallos.org/

vendredi 26 juin 2009

La Sziget Night, demain soir, à l'Aéronef : l'éclectisme d'un festival en une soirée à Lille

"Demain soir, la Sziget Night revient pour la quatrième fois à l'Aéronef de Lille dans le cadre du Midi-Midi Budapest-Bucarest. Avec une programmation qui rappelle l'énergie du festival de musiques actuelles de Budapest, mêlant tradition et modernité." La suite de l'article sur lavoixdunord.fr
Demain soir, à partir de 20 h, à l'Aéronef, av. Willy-Brandt à Lille. 17/12,5 E

mardi 23 juin 2009

La Magyar Garda, frange paramilitaire du Jobbik, a repris le Szebb jövőt!, ce salut nationaliste utilisé par le parti nazi hongrois de Szálasi

""Szebb jövöt!" (un meilleur futur)
L'effet de surprise passé, les électeurs hongrois se déclarent globalement satisfaits de la percée du Jobbik. Sans trop savoir dire pourquoi. Décryptage...
Selon un sondage réalisé par les instituts Forsense et Századvég, près de 60% des personnes interrogées sont satisfaites des résultats des élections européennes. Ce que l'on apprend dans le sondage, c'est que si les votants du Fidesz et du MSzP savaient depuis longtemps pour qui ils allaient voter, ce n'est pas le cas pour l'électorat du Jobbik, qui s'est décidé dans les dernières semaines avant le vote. La campagne du Jobbik semble donc avoir trouvé le ton juste." La suite de l'article sur lepetitjournal.com

lundi 22 juin 2009

Georges Soros : "la question est de savoir ce qui va se passer dans le futur"

Georges Soros : le pire est derrière nous
Le milliardaire hongrois qui expliquait à la chaîne de télévision polonaise TVN24 que l'essentiel de la crise économique était passé, plaide en faveur d'un système de régulation international.

« Le pire est derrière nous », expliquait dimanche le milliardaire hongrois George Soros à la télévision polonaise. Au sujet de la crise économique mondiale, il déclarait à TVN24 que celle-ci n'est pas « comme les crises précédentes mais marque la fin d'une époque ». Pour lui, le système financier actuel « était basé sur les fausses hypothèses que les marchés pouvaient indépendamment regagner leur équilibre et que le système pouvait s'autoréguler », désormais, « la question est de savoir ce qui va se passer dans le futur ». Suite de l'article dans lefigaro.fr du 22 juin 2009

dimanche 21 juin 2009

Besh o Drom Dimanche 28 juin 2009 à 17 heures Place de l'Odéon Paris


En avant-goût du Festival Sziget de Budapest
Dimanche 28 juin 2009 à 17h00 Place de l’Odéon, Paris

En argot tsigane hongrois, Besh o Drom est une invitation à « suivre son propre chemin », à « n’en faire qu’à sa tête », à « accomplir son destin ». Et leur destin à eux, c’était d’oser le mélange et la fusion des genres sans complexe aucun. Sans se défaire de ce qui constitue leur terreau d’origine, la musique des Balkans, ils en conservent les structures, mais pour mieux s’en libérer et les enrichir d’ahurissantes improvisations. Le résultat, une sorte de « Saturday night fever » de l’Est, enlevé par ces six à huit musiciens d’une dextérité diabolique, aux origines et influences diverses : tsiganes, yiddish, macédoniennes et arméniennes.
En cas d’intempéries le concert se déroulera à l’Institut hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris.

samedi 20 juin 2009

Tokay de Hongrie : un vin de légende


"Retour sur un vignoble que Louis XIV évoqua jadis en ces termes : “le vin des rois, le roi des vins”.
Parmi les grands vins du monde présents à Vinexpo, du 21 au 25 juin, en voilà un qui doit retenir notre attention : le tokay de Hongrie (Tokaji). Un vin de légende !..." Suite de l'article sur Lhotellerie-restauration.fr

vendredi 19 juin 2009

Baisse en mai des immatriculations de véhicules neufs en Hongrie de 66%

"L'Association des constructeurs européens d'automobiles (Acea) a annoncé une baisse des immatriculations en Europe pour le treizième mois consécutif en mai 2009
Si en Europe, la baisse s'établit à 4,9%, en Hongrie, elle atteint 66% par rapport à mai 2008. Le cumul sur les 5 premiers mois de 2009 donne une baisse supérieure à 50% en Hongrie, contre 13,9% sur l'ensemble de l'Europe..." La suite de l'article sur lepetitjournal.com

Vélib, Villo, développement durable mais... pas très éthique

Comme le "Vélib" parisien, le "Villo" bruxellois est produit en Hongrie. Il sort d'une usine où les ouvriers sont payés deux euros de l'heure et gagnent à peine 350 euros par mois, bien en-dessous du salaire moyen hongrois.
...Pour un salaire horaire de 2 euros, les 400 ouvriers de Toszeg produisent plus de 200 000 vélos par an. Ils gagnent moins que le salaire moyen hongrois dans un pays où il n'existe pas de salaire minimum garanti.
En d'autres termes, s'il permet de promouvoir la mobilité douce et participe au développement durable, le "Villo" de la firme JCDecaux n'a, en revanche, pas grand chose d'éthique."
Extrait d'un article paru sur rtbf.be

jeudi 18 juin 2009

Les homosexuels hongrois se tournent vers le Président de la République, ils craignent l'extrême droite

Il y a besoin d'une prise de position du Président de la République, car plusieurs associations extrêmistes et le parti Jobbik se sont entendus il y a peu de temps pour manifester et empêcher le défilé de la gay-pride prévu le 5 septembre prochain a déclaré le porte parole de l'association des lesbiennes-gays-bisexuels-transsexuels. La manifestation, pour laquelle ils attendent le soutien des citoyens attachés aux droits de l'homme sera maintenue en tout état de cause.


"A melegek Sólyomhoz fordultak, a szélsőjobbtól tartanak
...Azért van szükség a köztársasági elnök kiállására, mert több szélsőséges civil szervezet és a Jobbik nemrégiben abban állapodtak meg, hogy együttesen lépnek föl a fővárosi melegfelvonulás megakadályozásáért - mondta Steigler..." Extrait d'un article paru dans HVG.HU

Mon père s'appelle Zoltán Un film sur Zoltán Szabó

"Il y a vingt-cinq ans, Zoltán Szabó mourait au faubourg Sainte-Croix de la commune de Josselin, dans le Morbihan, où il vivait depuis 1979. A cette occasion, l'ambassadeur de Hongrie, S. E. László Nikicser, invité par le sénateur Josselin de Rohan, a déposé une gerbe sur sa tombe bretonne. Zoltán Szabó naquit à Budapest en 1912. En 1936 il écrit son premier ouvrage «A tardi helyzet», La situation à Tard, où il décrit la détresse de la population rurale, puis en 1938, "Cifra Nyomorusag", Misère avec panache. Il collabore jusqu’en juin 1940 à la rubrique «Szellemi Honvédelem», Défense nationale spirituelle, dans le quotidien Magyar Nemzet, puis ce dernier est interdit. En 1940, il obtient une bourse de la France et arrive à Paris. Il assiste alors à la débâcle de mai-juin, ce qui lui inspire «L’effondrement» journal de Paris à Nice 10 mai 1940-23 août 1940, paru à Budapest et traduit en français en 2003 aux éditions Exils, impitoyable témoignage sur l'exode. Il revient dans sa ville natale, "Szerelmes Földrajz", Géographie amoureuse paraît en 1942. Après la guerre, il écrit dans la revue Valóság, Vérité. En 1946, il est correspondant de presse à Paris et l'année suivante est nommé attaché culturel à la légation de Hongrie dans la capitale française. En 1949 il démissionne et devient correspondant culturel pour Radio Free Europe à Londres. Quelques années plus tard il s'installe en Bretagne où il finira ses jours en 1984.
"Mon père s’appelle Zoltán" est un court-métrage documentaire de sa fille Agnès Szabó. Etudiante à l’École Nationale Supérieure de Cinéma, la Fémis, elle a réalisé ce film de fin d’études. Elle a très peu connu son père puisqu'il est mort alors qu’elle avait pas cinq ans mais elle le fait revivre à travers les maisons où il a habité, les enregistrements de sa voix, les photos. Ce document a été tourné en coopération avec plusieurs villes Paris, Josselin, Londres et Budapest et a bénéficié de plusieurs aides." Extrait d'un article paru sur podcastjournal.net

Tsiganes : Csardas

"Concert World 22 novembre 2009 à 16 h 30 - Cité de la musique
Csárda veut dire, en hongrois, « auberge ». Et la csárdás est une danse hongroise apparue vers 1830, qui connut une grande vogue dans les salons, au point de devenir une sorte de symbole national, notamment chez Liszt. Elle était jouée essentiellement par des musiciens tsiganes, qui devinrent ainsi les ambassadeurs virtuoses de ce que beaucoup considéraient comme la musique « hongroise » par excellence..." La suite sur Belleville-Village.com

Cité de la musique
221, avenue Jean Jaurès 75019 Paris Tél. : Renseignements & Réservations : 01 44 84 44 84 Administration : 01 44 84 45 00
site : http://www.cite-musique.fr/

mercredi 17 juin 2009

Cycle chefs d'oeuvre du cinéma hongrois à la Filmothèque du Quartier Latin du 19 au 23 juin 2009

Au programme:

Ouverture
Vendredi 19 juin à 21h avec la projection de Colonel Redl d'Istvan SZABO

Projection suivie d’un débat en présence de Simon Shandor,
producteur, scénariste et distributeur (Clavis films).


Samedi 20 juin : 18H AMOUR de Karoly MAKK

Séance présentée par Yvette Biro, cinéaste, écrivain,
et Irena Bilic
, cinéaste, Présidente et Fondatrice du Festival L'Europe autour de l'Europe.


Dimanche 21 juin : - 14H JOURNAL INTIME de Márta MESZAROS - 18H COLONEL REDL d'István SZABO

Lundi 22 juin : 20H JOURNAL INTIME de Márta MESZAROS

Mardi 23 juin - 19H30 AMOUR de Karoly MAKK - 21H15 COLONEL REDL d'István SZABO

Voici quelques informations sur les films et leurs auteurs...

Colonel Redl (Oberst Redl)

Fiction, Hongrie/Autriche/Allemagne/Yougoslavie, 1985, 144’, Couleur
Avec Klaus Maria Brandauer, Hans Christian Blech, Armin Mueller-Stahl Gudrun Landgrebe, Jan Niklas, László Mensáros, András Bálint, László Gálffi, Dorottya Udvaros…

Empire austro-hongrois, quelque temps avant l’attentat de Sarajevo. Alfred Redl, d’extraction modeste, individu brillant, a réussi à entrer à l'école militaire. Vouant une fidélité sans faille au Kaiser, Alfred gravit de nombreux échelons, n'hésitant pas à renier ou trahir sa famille, ses amis, voire lui-même.
Le Redl de Szabo est un personnage beaucoup plus sympathique qu’il ne l’a été dans la vraie vie et son histoire n’est pas seulement une histoire sensationnelle de trahison, sexe, espions et suicide. La trahison n’est pas ce qui intéresse Szabo. Il se concentre sur l’identité de Redl et sur comment la volonté du Colonel d’être ce qu’il n’est pas le mène à la chute.
Au coeur de la personnalité de Redl on trouve sa gratitude envers l’empereur, pour avoir sorti sa famille de la misère. Cette loyauté inébranlable l’aide à gravir les échelons même quand cela veut dire se détourner de ses amis et camarades. La performance de Brandauer est irrésistible et énigmatique. Sa portée est très large et les émotions les plus subtiles sont montrées sur son visage expressif. Le spectateur ressent chaque moment de joie, de peur et de douleur et cela l’aide à compatir avec le protagoniste.
Colonel Redl est une œuvre de génie, une fable de corruption morale, tromperie et souffrance.
Prix du Jury à Cannes en 1985
István SZABO
Né en 1938 à Budapest, Hongrie. Istvan Szabo entre en 1956 à l'Ecole Supérieure de Théâtre et de Cinéma de Budapest. Dès ses débuts, il obtient des prix: un de la critique hongroise en 1961 pour son court-métrage de fin d'étude Koncert et un autre à Cannes pour Toi. C'est le début d'une longue série de récompenses, son premier long-métrage L'Age des illusions étant couronné à Locarno en 1964. Confiance obtient l'Ours d'argent à Berlin en 1979 est nommé aux Oscars. Mais c'est Mephisto qui remporte en 1981 l'Oscar du Meilleur film étranger, tandis que Colonel Redl reçoit le prix du jury à Cannes en 1985. Malgré cette reconnaissance internationale et la dureté du régime socialiste sévissant en Hongrie, Istvan Szabo ne s'éloigne pas de son pays natal et ne réalise son premier film en langue anglaise qu'en 1990 (La Tentation de Venus). Devenu spécialiste des drames historiques à gros budget (Sunshine, 1999), il réalise aussi des histoires plus intimistes et contemporaines comme Chère Emma (1991). L'oeuvre de ce cinéaste se caractérise par une lumière soignée, fruit de sa longue collaboration avec le chef-opérateur Lajos Koltai (Taking sides, le cas Furtwängler, 2001) et des thèmes récurrents comme la place de l'artiste dans la société (Mephisto), la liberté politique (Confiance) et la mise à mal des idéaux face au carriérisme (Colonel Redl).
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Journal intime (Napló gyermekeimnek)

Fiction, Hongrie, 1984, 102’, Noir et blanc
Avec Zsuzsa Czinkóczi, Anna Polony, Jan Nowicki, Mari Szemes, Pál Zolnay, Ildikó Bánsági, Éva Szabó, Tamás Tóth

Ayant perdu père et mère en Russie, pendant les purges de Staline, la jeune Julie revient en Hongrie. Hébergée chez Magda, femme célibataire qui occupe une position de pouvoir au sein du régime, elle se sent de plus en plus opprimée. Se réfugiant dans ses souvenirs et dans le cinéma, elle finit par entrer en contact avec János, jeune ingénieur qui représentera sa seule échappatoire. « L’enfance, par le thème générique du traumatisme, est la terre d’origine de la fiction. Elle est l’enjeu du travail de cinéaste de Márta Mészáros: il s’agirait de garder grâce au cinéma une mémoire du cinéma : « Freud n’a jamais abandonné quelque chose qui peut se formuler de la façon que je viens de dire : réécrire l’histoire, formule qui permet de situer les diverses indications qu’il donne à propos de petits détails dans les récits en analyse. » commente Lacan.
La cinéaste incarne elle-même une recherche cinématographique où tous ses trajets vont donner forme à une enquête très parcellaire sur l’histoire au profit d’une véritable quête inassouvie sur soi-même. Mészáros met en scène un processus d’aller-retour pour rétablir une histoire effacée qui ne relève plus d’un rapport de réalité mais plutôt d’une volonté de produire des preuves de vérité. (…)
L’auto-fiction se propose de retrouver le réel dans la fiction des personnages utilisant les archives comme formes de preuve. L’histoire familiale domine ce réel, dont les frontières ambiguës avec l’imaginaire posent les conditions de passage à l’âge adulte. (…) Ainsi l’Ultime journal prend la forme d’un documentaire de fiction apportant les dernières preuves des films précédents grâce à une enquête de terrain, en fin de compte bouclée. »
Kristian Feigelson in Théorème 7 numéro spécial Cinéma hongrois : le temps et l’histoire, p115, Presses Sorbonne NouvelleGrand Prix au festival de Cannes en 1984.
Márta MESZAROS
Née en 1931 à Kispest, Hongrie.En 1936, son père, le sculpteur Laszlo Meszaros, quitte l’étouffoir horthyste pour l’Union Soviétique. En 1938, au cours d’un séjour au Kirghizistan, il est arrêté et il disparaît. Il avait 33 ans. Sa mère meurt du typhus pendant la guerre. Orpheline donc, elle commence des études secondaires en Union Soviétique, et est ramenée en Hongrie après 1945 où elle vit à l’ombre d’une mère adoptive qui occupe un rang élevé dans l’appareil du pouvoir. Elle bénéficie d’une bourse pour aller continuer ses études à Moscou. En 1956 elle sort diplômée de VGIK (Institut National de la cinématographie) à Moscou. A son retour en Hongrie en 1958 elle met d'abord en scène une trentaine de films scientifiques et documentaires. En 1968 elle réalise son premier film long métrage, Une fille. Elle épouse alors Miklos Jancso, dont le fils, Miklos Jancso Jr., sera le chef opérateur des deux volets du Journal. Elle est auteure d’une quarantaine de films. En 1998 les Editions Wydawnictwo Książkowe "Twoj Styl" ont publié ses mémoires sous le titre Moi, Marta... Elle vit tantôt à Budapest, tantôt à Cracovie, ou bien encore à Varsovie.
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Amour (Szerelem)

Fiction, Hongrie, 1971, 84’, Noir et blanc
Avec Mari Töröcsik, Lili Darvas, Iván Darvas, Erzsi Orsolya, László Mensáros, Tibor Bitskey, András Ambrus…

Après l’arrestation brutale et infondée de son époux, une jeune fille s’évertue à protéger sa vieille belle-mère, mourante, de la terrible vérité: János ne reviendra sûrement jamais. Elle invente une image glorieuse du fils, devenu réalisateur à succès en Amérique…
«Si la rigueur du scénario est exemplaire, la mise en scène, toute de retenue, sert admirablement le texte dont elle exprime les nuances avec un maximum d’efficacité, en s’appuyant sur une excellente direction d’acteurs… C’est le mérite actuel du cinéma hongrois que d’être en mesure d’avancer, dans un festival international, de tels films, parallèlement à d’autres de style très différent, plus modernes sans doute à beaucoup d’égards, mais d’un niveau général de qualité rare.»
François Maurin, L’Humanité, mai 1971
« (…) Qualité principale du récit : une grande pudeur dans la peinture des sentiments. Point de rancœur. Les silences de la résignation. Karoly Makk vient même à bout des écueils présentés par le scénario : longueur de temps et de monotonie. L’émotion prise à son degré le plus fin déborde l’obstacle, l’use et l’emporte… »
Louis Chauvte, Le Figaro, mai 1971

Karoly MAKK
Né en 1925 à Berettyóújfalu, en Hongrie. Son premier film, les Pionniers (Uttörök, 1949), interdit par le pouvoir de Rákosi, n'est pas projeté. Il tourne en 1954 Liliomfi, comédie pleine de fantaisie et d'inventions, s'imposant aux côtés de Fabri et de Máriássy comme l'un des artisans du renouveau du cinéma hongrois. Il s'attache ensuite à décrire la réalité contemporaine dans des oeuvres invitant le spectateur à la réflexion (Salle n 9 A 9-es kórterem, 1955 ; En plein dans le mille Mese a 12 találatról, 1956). En 1961, il réalise Les Obsédés (Megszállottak), premier film qui, depuis les événements de novembre 1956, aborde de façon critique la bureaucratie. Cette oeuvre, primée par l'Association des critiques hongrois, ouvre une voie nouvelle de réflexion pour les créateurs. Après une douzaine d'années d'une production peu significative, il refait surface avec la nouvelle génération de cinéastes. Dans Amour (Szerelem, 1970), il brosse un portrait bouleversant de deux femmes dans la période difficile des années 1950. Il réalise ensuite Jeux de chats (1974), Une nuit très morale (1977), Au-delà du mur de briques (1980), Autrement (Olelkezo tekintetek, 1982), Jeu mortel (Die Jäger, 1982), Lilly in Love (Játszani kell, 1984), Le requiem hongrois (Magyar rekviem, 1990), Le joueur (A Játékos, 1997), Un long week-end à Pest et Buda (Hét Pesten és Budán, Egy, 2003)…

Programmation sur le site de la Filmothèque
9, rue Champollion 75005 Paris Tél : 01 43 26 84 65

mardi 16 juin 2009

Concert Irène Polya et Katalin Péronno-Darabont le 12 juillet 2009 à Rueil-Malmaison




Château de la Petite Malmaison
229 bis avenue Napoléon Bonaparte, 92500 Rueil-Malmaison
Dimanche 12 juillet 2009 à 17.00
Récital
violoncelle et piano

Irène Polya : Piano
Katalin Péronno-Darabont : Violoncelle



J. S. Bach: Sonate no. 2 en ré majeur, BWV 1027-1029
W. A. Mozart: Sonate pour piano en si bémol majeur, K.333
L. Boccherini: Adagio et Allegro de la sonate en la majeur
L. van Beethoven: Sonate en sol mineur, op.5 no.2
C. M. von Weber: Adagio et Rondo
Tarifs : 12€, 8€ (enfants, étudiants, retraités)
Réservations : Benoît Lambert
01 45 22 51 42 ; 06 74 00 16 32

Ábel dans la forêt profonde de Áron Tamási

Ábel apprend la vie en Transylvanie

Tous les jeunes Hongrois connaissent «Ábel dans la forêt profonde», un merveilleux récit de formation, œuvre de Áron Tamási, datant de 1932. Une nouvelle traduction par la maison genevoise Héros-Limite permet d’en découvrir le charme bondissant.

Comme dans les contes, Ábel est devant un gros tas de blé de Turquie à égrener jusqu’au soir. A ses côtés, le chien, sur son épaule, le chat. Ábel dans la forêt profonde, dit Agnès Járfás, la traductrice, est un livre que tous les jeunes Hongrois ont lu. Ils ont de la chance, ce roman de formation est délicieux. Paru en 1932, il se déroule en 1920, «autrement dit un an après que les Roumains nous eurent pris en main, nous les Sicules», c’est-à-dire dans la jeunesse d’Ábel qui est aussi celle de l’auteur, Áron Tamási (1897-1966)." Source Letemps.ch
"L’Histoire, les histoires, l’histoire. Ici celle d’Ábel, celle d’un de ces porteurs de feu de la littérature. Adolescent pauvre que son père mène, aux premières pages, dans les montagnes roumaines de la Hagita, la grande forêt du mythe, afin qu’il s’y invente le métier de garde forestier, et celui d’homme. Abandon? Non. Plutôt prise de liberté, affranchissement, ouverture de cette chasse aux illusions qu’est la vie.
Conte ou Bildungsroman? Avec Ábel l’on peut oublier les catégories et prendre plaisir aux intelligences: celle du langage, de la repartie indemne de pouvoir, du sous-texte où l’histoire des oppressions est redite au travers d’archétypes si subtils qu’ils oublient d’en être. A la conclusion le pauvre reste pauvre, mais réussit encore à faire cadeau au lecteur d’une lucidité joyeuse.
Une dernière chose, le texte est couché dans un lit de papier et de travail de la lettre qui rend au livre sa noblesse d’objet." Source Letemps.ch
Le Mot de l'éditeur : Abel dans la forêt profonde
Ábel dans la forêt profonde est un exemple rare, sinon unique, du rousseauisme au vingtième siècle. Roman majeur de la littérature hongroise, il est animé par une prose lyrique, teintée de mysticisme. Sa langue emprunte largement au dialecte local, les dialogues, pleins d’humour, s’articulent autour des traits d’esprit et des jeux de mots. Il est parmi les textes les plus attachants et les plus lus en Hongrie.
« Cap sur l’Est. Laissez derrière vous la vaste plaine pannonienne, franchissez la Tisza par un jour sans crue et remontez les méandres de la Mures.
Coupez ensuite par la montagne où les lacs portent des noms d’ours et rejoignez d’autres flots turbulents, ceux de l’Olt qui auraient vu le diable même mourir gelé. C’est là, dans le comté forestier de la Hargita, où l’on salue en hongrois, mais règle ses dettes en lei roumains, qu’est née la légende d’Ábel.Il faut en effet parler de légende tant le récit de l’écrivain transylvanien Áron Tamási (1897 à Farkaslaka-1966 à Budapest) tient une place particulière et fondamentale dans l’histoire de la littérature hongroise. D’abord livré sous la forme d’un feuilleton dans un journal de Brasov, « Ábel » est publié en 1932 chez Erdélyi Szépmíves, une maison d’édition sise à Cluj qui rassemble alors un singulier foisonnement littéraire magyarophone, dont les oeuvres de Károly Kós, Aladár Kuncz et Benö Karácsony. « Ábel » connait immédiatement un immense succès critique et populaire, il est lu et commenté – aujourd’hui encore – dans les lycées hongrois.
À l’instar de son héros, Áron Tamási a vécu dans la Hargita puis bourlingué jusqu’en Amérique avant de trouver sa vocation d’écrivain et de livrer une abondante bibliographie dont ce roman hors du temps. Voici un « Ábel » profondément humaniste, drôle, écologiste avant l’heure, méfiant à l’encontre des mirages de son époque ; une histoire de Robinson avec la forêt pour Océan et la malice pour boussole. Adolescent, Ábel est envoyé sur la montagne comme garde champêtre. À lui seul désormais de découvrir la rugueuse beauté de ce monde et les êtres qui le traversent : chiens, gendarmes, brigands, moines, propriétaires…Échaudé, Ábel pourrait devenir misanthrope ou révolutionnaire. Sa curiosité (notamment à l’égard des juifs orthodoxes), son honnêteté et sa foi la création le préservent du pire sinon des bosses.
Áron Tamási est parfois comparé à Giono ou Ramuz pour la saveur de sa langue, ses dialogues si proches des roublardises du parler sicule, et son attachement jamais démenti à sa terre natale. Il ne saurait toutefois être réduit au rang d’auteur régionaliste, toute son oeuvre – ses romans, ses nouvelles comme son théâtre – tendant en effet vers une dimension humaniste et universaliste souvent proche de la féerie ou du conte oriental. Resté à Budapest durant les années de plomb du stalinisme, ce démocrate à l’esprit trop indépendant fut mis au ban de la littérature sous l’accusation – faute de mieux – de déisme, avant de se voir réhabilité tant le succès de ses écrits dépassait les tentatives de censure.
Une première traduction francophone du roman vit le jour en 1944 en Suisse, alors que Budapest guettait l’arrivée des chars soviétiques. Publié à Lausanne par la Guilde du livre Ábel dans la forêt sauvage fut traduit par un étrange duo réuni quelques semaines durant à Genève par les circonstances de la guerre. Jeune boursier de Budapest et futur grand oeil du Parti sur les lettres hongroises, Péter Nagy s’était lié avec l’anarchiste français en exil André Prudhommeaux. Savoureuse, mais éloignée du texte original par ses nombreuses corrections, cette première traduction s’est perdue dans le chaos de la fin de la guerre. Il a ainsi fallu attendre plus de soixante ans, pour que ce récit extraordinaire ressurgisse des forêts de la Hargita dans une nouvelle traduction plus fidèle au texte originel.» Thierry Sartoretti
Traduction : Agnès Járfás
Editions : Héros Limite Genève
Prix 20 euros - 32 CHF

Fermeture de 4 ambassades et de 8 consulats hongrois dans le monde

Péter Balázs, le ministre des Affaires étrangères a annoncé la fermeture de 4 ambassades et de 8 consulats hongrois et la mutualisation de services d'ambassades au sein d'organisations internationales. Ces mesures permettront d'économiser chaque année 2 millards de forints (environ 7 millions d'euros). En France c'est le consulat de Lyon qui est sacrifié.
Source HVG.HU

Unheil in Ungarn - Calamité en Hongrie

La presse allemande s'inquiète de la situation politique qui se développe en Hongrie. Dans un article paru le mardi 16 juin 2009 dans Süddeutsche Zeitung on peut lire : "Harcèlement contre les Tziganes, les juifs, les intellectuels: l'extrême droite en Hongrie place l'Etat sous pression et exporte le nationalisme dans les pays voisins"

"Hetze gegen "Zigeuner", Juden, Intellektuelle: Rechtsextreme setzen in Ungarn den Staat unter Druck und tragen den Nationalismus in die Nachbarländer." Süddeutsche Zeitung

Lire aussi le commentaire de cet article dans HVG.HU

Exposition d'un projet alternatif pour le quartier juif à la Mairie centrale de Budapest

We have the honor of inviting you to an exhibition by
the society ÓVÁS! (PROTEST!),
to be opened at 4:00 p.m. on Monday, June 8, 2009
in the assembly hall of the Mayor's Office

AN ALTERNATIVE PERSPECTIVE ON THE JEWISH QUARTER

The exhibition will be opened by Mayor Gábor Demszky

The exhibition was designed by N&n

Anyone who is walking on the streets of the old Jewish quarter of Pest, a World Heritage site under UNESCO protection since 2002, may get the impression that the war has just ended. They see vacant plots, deserted apartment buildings, abandoned business venues, decaying architectural monuments, the facades and frontal sections of partially demolished buildings, recently built apartment blocks resembling housing estates, ghost houses and passages, and the yawning entrances of underground garages. Apparently, a phantom town without residents or vendors is emerging in the place of one of the liveliest and most exciting former merchant districts of Pest. Beside the synagogues, which are the distinctive landmarks of the urban landscape, the only parts of the protected quarter that have managed to retain their lively character and historic ambience are those where major alterations, demolitions and constructions have not yet taken place. The alternative cafés, shops and cultural venues frequented mostly by young people and foreign tourists can all be found here. All the evidence seems to suggest that the nature of the transformation has been an unqualified failure. Instead of improving the quality of life and the visual impact of the district, the development investors have clearly ruined them. Despite international and local protest, the damage continues unabated.

Under these critical circumstances we have decided to launch yet another effort to revise the existing conceptual framework and the present practices and to produce new plans that are in line with the area’s status of an international and national heritage site, and that correspond with UNESCO’s expectations. By presenting our alternative plans we would like to ferment new ideas and to generate a new movement leading to the immediate suspension of the existing planning regulations and the start of a genuine rehabilitation. Without supposing that ours is the only possible way to rescue the area, we do believe that a new conceptual approach is essential. Only this could give the area a long-term social, cultural, touristic and economic boost and benefits.

Although at present the prospects seem very dim because of the prevailing commercial interests and economic alliances, achieving a breakthrough in this dire situation is only a matter of the finding right political motives and determination. It is possible to plan less ambitiously, to build on a smaller scale, and yet to create an architecturally more valuable environment. It is possible to construct an attractive, vibrant and functional urban milieu by restoring historical buildings, creating better living conditions, protecting the traditions and the sites of remembrance, reducing the traffic load, developing green areas and parks, and encouraging religious and cultural life. All these have been achieved elsewhere, in places like Paris and Berlin, Prague, Crackow and Warsaw, leading to a great property boom everywhere. Why should it be different here?


The alternative plans and the exhibition itself have been designed jointly by the following team: Anna Perczel: concept, urban design; Catherine Szántó: landscape architecture, transportation; Ádám Magyar: architecture; Virág Bencze-Kovács: transportation; János Ladányi: social issues; Tamás Doleschall: economic model; Ildikó Baranyai: digital maps; Béla Káli: architecture; Martin Fejér: photos of the Ghetto Wall, enlarged photos; Bálint Kaszics: model

The exhibited architectural model of Inner Erzsébetváros has been made by the urban studies students of the University of Karlsruhe

Beside our own ideas and thoughts, we would also like to present a number of competition entries and student projects, which have been produced during the past few years in connection with the rehabilitation of the Jewish quarter: plans submitted to the International EUROPAN Competition of 2005; the two winning entries of the competition announced in 2006 jointly by ÓVÁS! and OKTOGON magazine for the reconstruction of the building at No. 40, Király utca; the dissertations of Hungarian architecture students who graduated in 2008; and plans made in 2009 by students of urban planning at the University of Karlsruhe, Germany.

www.ovasegyesulet.hu


The development of the alternative plans with the engagement of outside professionals has been made possible through the generous support of the Soros Foundation. The exhibition has been sponsored by the Soros Foundation, the Budapest Bank Foundation for Budapest and OSA Archivum.

The exhibition will be open to the public every weekdays from June 8 through June 25, 2009, between 9:00 A.M. and 4:00 P.M.

The assembly hall of the Mayor's Office


Budapest V. kerület, Városház utca 9-11.

lundi 15 juin 2009

Fête de la musique à l'Institut hongrois de Paris : spécialités hongroises préparées par l'équipe du Danube Bleu

Bonjour à Tous et Toutes les Hongrois et les magyarophiles (ce n'est pas répréhensible par la loi ;) ),

Nous souhaitons vous inviter à L'Institut Hongrois de Paris pour la fête de la musique le 21 juin 2009 à partir de 20 heures.
Nous organisons une buvette à l'intérieur .
Venez nombreux pour apprécier les concerts de l'Institut hongrois et les spécialités hongroises.
Bonne visite musicale!

Kedves Pàrizsi Magyarok,
Szeretettel meghivunk mindenkit a pàrizsi Magyar Intézet szervezésében megrendezett koncertre Junius 21-én a zene ünnepén és a Kék Duna àltal rendezett büfére amit az Intézeten belül fogunk megtartani.

Institut hongrois de Paris
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice ou Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
http://www.instituthongrois.fr/

Fête de la musique : Institut hongrois de Paris


L’Institut hongrois de Paris participe cette année pour la quatrième fois consécutive à la Fête de la musique, donnant l’opportunité à des jeunes musiciens hongrois de se faire connaître sur Paris.

Comme précédemment, il a lancé un concours en coopération avec les instituts culturels hongrois comme celui de Bruxelles, de Bucarest, de Bratislava, de Vienne et de Varsovie, auquel 80 groupes ont répondu.

Ils ont cherché des musiciens dont la musique était inspirée par la musique traditionnelle des Carpates « réemballée » dans un contexte moderne. Sept d’entre eux auront la chance de présenter leur musique dans des grandes capitales d’Europe, dont deux sur Paris. C’est dans une charmante allée verdoyante du 6ème arrondissement de Paris que se produiront le 21 juin prochain dans un premier temps à 20h00 « Egy Kiss Erzsi zene » et à 22h00 « Gábor Deutsch /Anorganik”.

A 20h Egy Kiss Erzsi zene
Même si l'on perçoit chez Egy Kiss Erzsi Zene des sons africains, arabes ou des consonances blues, même si l'on a plutôt tendance à les ranger dans le tiroir „world music”, leurs compositions n'en demeurent pas moins inclassables. Les onomatopées et la langue inventées de toutes pièces par la chanteuse Erzsi Kiss nous transportent dans une bulle de rêve.

L'utilisation d'un langage imaginaire ou ce mélange de folklore est-européen, scandinave et Yiddish, renforcé de jazz et de rock caractérise la formation. Sur le premier album du groupe "Egy Kiss Erzsi zene" (Bahia, 1998), c'est le chant - souvent a capella - qui domine.

Même si les voix nues et les musiques traditionnelles y trouvent encore leur place, les deux albums suivants (Deladela, Bahia 2001 et Röné Alma, K-Petrys, 2004) sont cependant beaucoup plus rock!

A 22 h00 Deutsch Gábor/Anorganik
Producteur et DJ reconnu dans l'univers musical hongrois , Gabor Deutsch a sorti son premier album Contract en 2000. Sa musique varie entre la house, le breakbeat et le drum and bass . Ses remix sont mondialement connus. Actuellement il travaille sur son nouvel album Turning Thirty dont la première aura lieu lors de la fête de la musique!

Lieu :
Jardin face à l'Institut hongrois
92, rue Bonaparte
75006 PARIS 6eme
Horaires : entre 20:00 et 02:00

Acces metro / RER : Saint-Sulpice

Source http://www.instituthongrois.fr/

http://www.fetedelamusique.culture.fr/

dimanche 14 juin 2009

Attila, reine des belges - les trois dernières représentations !!!

Bonjour à tous!
Voici l'été (enfin!)
Attila, reine des Belges qui a tourné trois mois dans la capitale parisienne et ratissé de nombreuses conquêtes, voir ci dessous, s'apprête à terminer son séjour avant d'autres aventures encore indéterminées !
Il reste trois dernières représentations aux Feux de la Rampe!!!
les mardis 16
mercredi 17
et mardi 23 juin! à 20h
au 2, rue Saulnier tél : 01 42 46 26 19
Si vous n'avez pas trouvé le temps (ah! ce temps qui nous manque toujours...) ou l'adresse,
C'est le moment ou jamais!!
Au plaisir de vous voir peut-être célébrer ces trois dernières!!
Bises Babette

quelques extraits de presse :
"incroyable parcours... inattendu... malicieux...Attila : magma d'existences!" Libération
"Excellente comédienne ,mime, clown.. univers à la fois décalé, fantastique et humaniste" Télérama
"voyage cosmique... généreux et timbré... solo burlesque en diable" Le Soir Bruxelles
"poignante réflexion sur les origines... une révélation" Evene
Etc... etc...oui, je sais : on se vante... mais bon, c'est eux qui l'ont dit!
Voir aussi le Blog des Mardis hongrois de Paris et Libération du 3 juin 2009

samedi 13 juin 2009

Réferendum: une tendance hongroise

"L'initiative de Mária Seres, qui réclame un référendum sur l'abolition du système actuel de remboursement des frais des députés, a rencontré un grand succès jusqu'à présent. Depuis octobre, près de 600 000 citoyens ont signé cette pétition, qui fera par conséquent l'objet d'un référendum dans quelques mois." La suite de l'article sur le Journal francophone de Budapest

Déficits publics ici et là...

La même musique, la même partition partout...
"La Hongrie a obtenu le feu vert de Bruxelles pour percevoir une nouvelle tranche, d'un montant de 1,5 milliard d'euros, de l'aide promise par l'Union européenne (UE) pour aider le pays à faire face à la crise financière, a indiqué aujourd'hui le ministère des Finances...
Cette aide a été conditionnée à des mesures de rigueur pour éviter un nouveau dérapage de la dépense publique en Hongrie..." Lefigaro.fr du 12 juin 2009

"Le gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger a une nouvelle fois appelé les élus hier à adopter de nouvelles coupes budgétaires pour lutter contre un déficit massif, prévenant que l'Etat risquait d'être à court de liquidités vers le 15 juin...
Les mesures drastiques envisagées par M. Schwarzenegger devraient entraîner le licenciement de 5.000 fonctionnaires et réduire les dépenses d'éducation de 5 milliards de dollars..." Lefigaro.fr du 13 juin 2009

vendredi 12 juin 2009

Le retour de Thomas Schreiber

"Il est parti de Budapest sur l’Arlberg Express, un de ces trains légendaires reliant l’Occident et l’Orient, et il est arrivé à Paris par l’express du même nom. Rien de plus naturel. Si ce n’est qu’il est descendu de son wagon à Mosonmagyaróvár d’où il a continué sa route à bord d’un bus. Puis, à l’aide d’un passeur, il a franchi la frontière autrichienne en secret, à pied et en pleine nuit. Il a ensuite gagné la France l’année suivante, de nouveau illégalement, depuis la Suisse, pour se procurer, une fois sur le territoire français, un autre billet pour Paris, sur un autre train de l’Arlberg Express. C’était en 1948-1949, et le rêve de Tamás Schreiber, ce jeune homme de 20 ans, était simple: devenir un journaliste américain.
60 ans (et quelques mois) plus tard M. Thomas Schreiber, devenu l’un des meilleurs journalistes français, spécialiste de la diplomatie internationale et des affaires Est- européennes, a publié ses mémoires – parues en hongrois sous un titre un peu insolite : Életmorzsák..." La suite de l'article dans le Journal francophone de Budapest

jeudi 11 juin 2009

Dépôt de gerbe sur la tombe de Zoltán Szabó

"De passage en Bretagne et Pays de la Loire et invité du sénateur Josselin de Rohan, l'ambassadeur de Hongrie, S. E. László Nikicser, a déposé une gerbe sur la tombe de Zoltán Szabó, écrivain hongrois qui vécut au faubourg Sainte-Croix de 1979 à 1984.
Zoltán Szabó est né à Budapest en 1912. C’est en 1936 qu’il écrit son premier ouvrage « A tardi helyzet » - (La situation à Tard) livre de sociographie qui pointe le désarroi d’une population rurale forte de trois millions de mendiants. Zoltán Szabó, amoureux de la France et de sa littérature, obtient en 1940 une bourse de l’Etat français pour venir à Paris. C’est durant son séjour en France, en mai-juin 1940, qu’il assiste à la débâcle militaire française et qu’il écrit l’ouvrage publié aux Editions Exils « L’effondrement ». Le livre sera publié en Hongrie en 1940 sous le titre « Összeomlás ». L’auteur retourne à Budapest en août 1940. Pendant la guerre il tient une rubrique dans le quotidien, alors libéral, Magyar Nemzet. Après la guerre il collabore à une revue, Valóság. En 1949 voyant que la Hongrie devenait totalitaire, il part s’installer d’abord à Londres puis plus tard en France où il finira ses jours en 1984." Source Institut hongrois de Paris
Lire aussi l'article qui est consacré à Zoltán Szabó sur le blog des Mardis hongrois de Paris le 23 janvier 2006

Silent cinéma L’après 89 à travers la jeunesse - Cinéma de plein air à l'Institut hongrois de Paris - 17 juillet 2009

17 juillet 2009 à 22h30
UNE BALLE Intime (Intim fejlövés) de Péter Szajki
sous-titré en anglais, 73 minutes
Entrée : 5 €
En cas de pluie, la séance est annulée.
Institut Hongrois de Paris
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
http://www.instituthongrois.fr/

Silent cinéma L’après 89 à travers la jeunesse - Cinéma de plein air à l'Institut hongrois de Paris - 10 juillet 2009

10 juillet 2009 à 22h30
Avions de papier (Papírrepülők) de Simon Szabó
sous-titré en anglais, 94 minutes
Entrée : 5 €
En cas de pluie, la séance est annulée.
Institut Hongrois de Paris
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
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Silent cinéma L’après 89 à travers la jeunesse - Cinéma de plein air à l'Institut hongrois de Paris - 3 juillet 2009

3 juillet 2009 à 22h30
Brosse Noire (Fekete kefe) de Roland Vranik
sous-titré en anglais, 84 minutes

Entrée : 5 €
En cas de pluie, la séance est annulée.
Institut Hongrois de Paris
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
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Silent cinéma L’après 89 à travers la jeunesse - Cinéma de plein air à l'Institut hongrois de Paris - 26 juin 2009

26 juin 2009 à 22h30
The District (Nyócker) d’Áron Gauder et Erik Novák
sous-titrés en français, 90 minutes
Entrée : 5 €
En cas de pluie, la séance est annulée.
Institut Hongrois de Paris
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
http://www.instituthongrois.fr/

Silent cinéma L’après 89 à travers la jeunesse - Cinéma de plein air à l'Institut hongrois de Paris 19 juin 2009

19 juin 2009 à 22h30
I love Budapest d’Ágnes Incze
sous-titré en anglais, 85 minutes
Entrée : 5 €
En cas de pluie, la séance est annulée.
Institut Hongrois de Paris
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
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Silent cinéma L’après 89 à travers la jeunesse - Cinéma de plein air à l'Institut hongrois de Paris - 12 juin 2009

12 juin 2009 à 22h30
EU SHORTS
courts métrages européens
Entrée : 5 €
En cas de pluie, la séance est annulée.
Institut Hongrois de Paris
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
http://www.instituthongrois.fr/

Silent cinéma L’après 89 à travers la jeunesse - Cinéma de plein air à l'Institut hongrois de Paris

« Cinéma sur le toit » c’est le concept des beaux jours de l’Instiitut avec des projections de courts et de longs métrages sur les toits du bâtiment à la tombée de la nuit. Les spectateurs sont munis de casques audio et vivent ainsi, dans un calme apparent, des explosions de sensations en tout genre ! Cette année la place est donnée aux cinéastes de l’après 89. Leurs films mettent généralement en scène leur propre génération après la chute du mur et ses répercussions sur la jeunesse hongroise : joies d’une liberté inespérée, d’une sexualité exacerbée mais aussi contradictions et frustrations…
Entrée : 5 €
En cas de pluie, la séance est annulée.
Institut Hongrois de Paris
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
http://www.instituthongrois.fr/

mercredi 10 juin 2009

Immobilier : Budapest est encore la ville la moins chère d’Europe

"Londres et Dublin sont les deux capitales les plus chères d’Europe. Selon une étude de Century 21 Benelux, les habitants des deux villes consacrent aujourd’hui un budget moyen de 350.000 à 400.000 euros pour acquérir un appartement ou une maison...
Sans surprise, les capitales « bon marché » restent celles des pays de l’est. Avec un budget moyen de 75.000 euros à l’achat, Budapest est encore la ville la moins chère d’Europe. Suivent Sofia (75.000 à 100.000 euros) ou Prague (100.000 à 150.000 euros)…" Lire l'article complet sur capital.fr

"Le roi blanc" de György Dragomán - Critique de Télérama


"Du jeune écrivain de langue hongroise György Dragomán, on ne sait rien de plus que ce que nous dit la quatrième de couverture du Roi blanc, superbe roman, aussi grave qu'éblouissant, le deuxième qu'il ait écrit, mais le premier traduit en français : György Dragomán est né en 1973 en Roumanie, au sein de l'importante minorité hongroise de Transylvanie, et vit à Budapest depuis 1988 – soit un an avant la chute et l'exécution du dictateur Ceausescu. Peu d'éléments, donc, mais cela suffit à imaginer qu'il entre, dans Le Roi blanc, une part de l'enfance du romancier, une dimension autobiographique qui peut-être explique, en partie du moins, le caractère infiniment juste et prégnant de ce récit d'apprentissage, ancré dans une réalité sociale spécifique : la vie, au jour le jour, dans un pays totalitaire." Suite de l'article sur Telerama.fr

Voir aussi le Blog des Mardis hongrois de Paris

Soirée des Mardis hongrois de Paris du 9 juin 2009 - Quelques photos




D'autres images sont visibles sur le site photos des Mardis hongrois de Paris

mardi 9 juin 2009

Le pique-nique des Mardis hongrois de Paris - Dimanche 7 juin 2009 - De nouvelles images









Les "nouveaux" de l'Est oscillent entre morosité et populisme

"C'est la deuxième fois que les "nouveaux" participent aux élections européennes. Les dix pays de l'ancien bloc communiste, entrés dans l'Union européenne (UE) en 2004 - en 2007 pour la Roumanie et la Bulgarie -, ont acquis l'expérience d'une législature au Parlement de Bruxelles.
Ce n'est que la deuxième fois et déjà ils sont de vieux Européens : aussi moroses et peu intéressés par le scrutin que leurs voisins de l'Ouest, aussi unanimement portés vers la droite conservatrice et/ou libérale, tentés comme certains par les petits partis de l'extrême droite nationaliste et xénophobe...

...La stratégie de "synthèse" des grands partis de droite n'a pas toujours su éviter la poussée de l'extrême droite, déjà présente en 2004. Ce n'est pas le cas en Pologne, où l'ultracatholique et nationaliste Ligue des familles a rejoint le PiS des jumeaux Kaczynski. Mais, en Slovaquie, le parti nationaliste SNS, antihongrois et antirom, a remporté son premier siège.
En Roumanie, le Parti de la Grande Roumanie (PRM) est crédité de 7 % des voix et reviendrait au Parlement après son échec de 2007. En Bulgarie, le parti nationaliste Ataka a obtenu entre 10 % et 12 % des votes. En Hongrie, surtout, les élections sont marquées par la victoire d'un nouveau parti nationaliste, antisémite et antirom, le Jobbik, qui remporte 15 % des voix et trois sièges au Parlement." Extraits d'un article paru dans Le Monde du 8 juin 2009

lundi 8 juin 2009

Les nouveaux venus au Parlement européen

"En Hongrie et Roumanie, percée de l'extrême droite.
Le tout nouveau parti d'extrême droite Jobbik, qui participait à un scrutin européen pour la première fois, récolte 14,77 % des votes et arrive en troisième position derrière le Fidesz (droite) et les socialistes. Sur une ligne nationaliste et xénophobe, il prend 3 des 22 sièges alloués au pays. Le parti d'extrême droite Grande Roumanie (PRM) entre au Parlement avec 2 sièges et 7,20 % des voix." Extrait d'un article paru dans Le Monde du 8 juin 2009

Vu sur le site du Comité hongrois de l'UNESCO

Kiállítás nyílt pusztuló világörökségi védőzóna helyszínünk, a Belső-Erzsébetváros védelmében.


Martin Fejér / EST&OST photography
Évek óta programja az UNESCO örökségvédelmi szerveinek és témája a közgondolkodásnak a budapesti Andrássy úti világörökségi helyszín védőzónája, a Belső-Erzsébetváros megóvásának és rehabilitációjának méltó rendezése. 'Alternatív gondolatok a zsidónegyedről' címmel új tárlat látható a műemlékvédelmi területről április 28-tól a Centrális Galériában. A kiállító Óvás! Egyesület és a rendező N&n művészi fotókban, rajzokban és vázlatokban manifesztálódó alternatív terv bemutatásával szeretne a gondolkodási és cselekvési folyamatokba kapcsolódni, s egyben új perspektívát vázolni a negyed egykori méltó rangjának visszaszerzéséhez. Bővebb információk a kiállításról itt.

Martin Fejér / EST&OST photography

Elections européennes en Hongrie : victoire de l'abstention avec plus de 65 % des suffrages

"...Plus de 8 millions d’électeurs hongrois ou citoyens de l’Union européenne vivant en Hongrie étaient appelés aux urnes pour élire leurs 22 députés. Le taux de participation a atteint près de 35%, en baisse par rapport à 2004 où il était de 38,5%."
Lire l'article complet sur latribune.fr

"La plus grande formation de l'opposition de droite, le parti Fidesz, arrive en tête des élections européennes en Hongrie avec 67% des voix, s'assurant une avance écrasante sur les socialistes du MSZP (19%) au pouvoir, alors que l'extrême droite fait une perçée avec 8%, selon les estimations à la clôture des bureaux de vote." Des résultats complets sur Romandie.com avec des chiffres plus ou moins précis par rapport à la dépêche de l'agence AFP.
On peut ainsi lire :
- soit "En troisième position se trouve le parti d'extrême droite Jobbik qui fera son entrée au - parlement européen avec deux élus."
- soit "Le parti d'extrême droite Jobbik est arrivé en troisième place et fera son entrée au parlement européen avec trois élus."