vendredi 7 décembre 2012

Journées de galère pour les passeurs de mots

"Une maison des Traducteurs qui a largement contribué à faire connaître la littérature hongroise à l'étranger est menacée de fermeture. Faute de subventions suffisantes, cet établissement modeste mais respecté ne pourra plus jouer son rôle.
Une coquette villa entourée d’un jardin paisible abritant livres et tableaux. La Maison des traducteurs de Balatonfüred (est du pays) est le domicile provisoire des passeurs de la littérature hongroise, un des lieux importants de sa culture. Le visiteur de la bibliothèque est ravi de voir la quantité de livres traduits en ce lieu.

Citons au hasard Zsuzsa Rakovszky en bulgare, Gyula Krúdy et Zsuzsa Beney en hollandais, Áron Tamási en français [Ábel dans la forêt profonde, et Étoiles de Transylvanie, Editions Héros-Limite, Genève], La Tragédie de l’homme d’Imre Madách et les romans de Kálmán Mikszáth en croate, mais aussi les poèmes de Szilárd Borbély et les œuvres de László Krasznahorkai en anglais, ou encore les 77 contes populaires hongrois présentés par Gyula Illyés et les poèmes de János Térey en italien.

La liste est longue, chacun peut les voir sur le site de la Maison :  L’aventure dure depuis quinze ans.
Mais l’histoire était trop belle." La suite sur courrierinternational.com

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