vendredi 15 janvier 2016

Interview avec Agnès Járfás, traductrice littéraire, lauréate du grand prix de traduction de la ville d’Arles.

« J’ai découvert le style, la langue d’un auteur grâce à Victor Hugo. » 
Le grand prix de traduction de la ville d’Arles vous a été attribué pour votre traduction du roman de Szilárd Borbély, La Miséricorde des cœurs (Christian Bourgois, 2015). Quel était votre premier sentiment en apprenant la nouvelle ?
Une très grande joie. C’est une consécration. Surtout parce que ce prix a été attribué par mes pairs, les traducteurs de l’ATLAS [Association pour la promotion de la traduction littéraire]. À l’occasion de la remise du prix, j’ai appris qu’il y avait vingt livres en lice au premier tour, qu’il y en avait trois au second et que le jury m’a accordé le prix à l’unanimité. Cela m’a beaucoup touchée. J’espère que ce prix m’aidera à convaincre des éditeurs à publier les livres que je leur propose. Certains éditeurs, comme Dominique Bourgois, comptent beaucoup sur les traducteurs dans le choix des ouvrages. C’était le cas pour le livre d’Esterházy, Voyage au bout des seize mètres [Christian Bourgois, 2008]." La suite sur litteraturehongroise.fr

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