"La question taraude la Hongrie depuis la suspension, samedi 8 octobre,
de la parution du plus important quotidien de l’opposition. La presse
libérale parle de “putsch”. Les titres conservateurs minimisent
l’ampleur de la crise.
Depuis samedi matin, le quotidien de gauche Népszabadság
vacille. Parution interrompue, rédaction fermée aux journalistes
dimanche après-midi, site internet paralysé – il n’y apparaît plus qu’un communiqué expliquant que “les ventes ont baissé de 74 % ces dix dernières années, soit une chute de plus de 100 000 exemplaires”." La suite sur courrierinternational.com
lundi 10 octobre 2016
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