mercredi 24 janvier 2018

La juste Route, de Ferenc Török : Noir comme le souvenir

"Dans La juste route, le réalisateur Ferenc Török remet en lumière un pan très sombre de l’histoire de sa Hongrie natale, sur la participation plus ou moins zélée des fonctionnaires et certains particuliers à la spoliation et la déportation des Juifs hongrois, en racontant son histoire du point de vue de l’immédiat après-guerre, en août 1945, et du point de vue du retour des déportés survivants et de ses conséquences.
Synopsis : En août 1945, au cœur de la Hongrie, un village s’apprête à célébrer le mariage du fils du notaire tandis que deux juifs orthodoxes arrivent, chargés de lourdes caisses. Un bruit circule qu’ils sont les héritiers de déportés et que d’autres, plus nombreux peuvent revenir réclamer leurs biens. Leur arrivée questionne la responsabilité de certains et bouleverse le destin des jeunes mariés.

Il était une fois dans l’Est
Pour un film dont le titre original est 1945, avoir choisi en français ce titre de La juste Route n’est pas innocent. Quand on lit le synopsis délivré par la production, on voit en effet qu’il s’agit d’une histoire de Juifs déportés revenus des enfers, retrouvant dans un petit village hongrois peut-être ceux qu’Israël a qualifiés de Justes. Ou peut-être pas. Ou justement pas." La suite sur cineseries-mag.fr

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