dimanche 18 mars 2018

En Hongrie, Viktor Orbán et l'hypnose du peuple

Citant le maître du Kremlin comme un modèle, le dirigeant hongrois, inspiré par l'oligarchie en vigueur à Moscou, devrait remporter son troisième mandat consécutif contre une opposition faible et divisée.
En huit ans de pouvoir autoritaire, Viktor Orbán s'est trouvé une quantité indéfinissable d'ennemis. Mais qu'il cible Bruxelles, le financier américano-magyar George Soros ou l'ONU, accusés pêle-mêle de vouloir installer en Hongrie des milliers de migrants contre la volonté des Magyars, le courroux de Budapest fait toujours mouche dans l'opinion… Si bien qu'il devrait conquérir sans trop de peine un troisième mandat, lors des législatives du 8 avril. La « démocrature » du dirigeant « illibéral » semble, aujourd'hui, aussi indéboulonnable que le poutinisme en Russie. Au point que l'unique possibilité de changement serait une alliance contre-nature des partis progressistes de gauche avec l'ancien mouton noir d'extrême droite Jobbik, en voie de dédiabolisation." La suite sur marianne.net (article payant)

4 commentaires:

  1. Analyse juste... La situation est inextricable, la majorité est silencieuse, V.O. jubile...

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    1. Alors tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles... pour ceux qui gouvernent.

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    2. Il faut que tout change pour que rien ne change

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