mercredi 7 mars 2018

Falstaff de Verdi à Budapest: une facétie rondement menée par un Iván Fischer complice

Par Pierre Waline
"De Verdi, Rossini disait que s’il excellait dans le drame, il n’était pas fait pour l’opéra bouffe. Ce qui n’empêchait les deux hommes d’éprouver une profonde estime mutuelle. Préjugé ou jugement fondé ? Force est d’avouer que, pour notre part, nous tendions jusqu’ici à partager le sentiment de Rossini. Du moins à l’écoute ici ou là de brefs extraits de son Falstaff. Mais de brefs extraits seulement et jamais l’oeuvre dans son intégralité. Bonne raison pour saisir l’occasion offerte par cette représentation. Et ce d’autant qu’elle était animée par Iván Fischer, dont il serait superflu de rappeler les qualités en la matière." La suite sur francianyelv.hu

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