Prochaine rencontre
à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
A legközelebbi összejövetel
2024 március 26.-án este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
Prochaine rencontre
"Cinq virtuoses fouleront les planches du Théâtre Luc Donat les 6 et 7 avril prochain. Ils seront accompagnés de musiciens réunionnais comme à chaque édition de la Nuit des Virtuoses. Cette année encore, elle débutera un peu en amont dès le 3 avril avec un concert à Lespas à Saint-Paul et un au Théâtre des Sables à L’Etang-Salé. Et les Virtuoses au Complet, ce sera comme d’habitude le vendredi soir au Théâtre en Plein Air à Saint-Gilles.
Vous ne connaissez pas forcément le nom de Peter Bence mais il est fort probable que vous ayez vu une de ces vidéos sur votre téléphone ou votre ordinateur en vous baladant sur les réseaux sociaux.
Cinq virtuosesCe pianiste hongrois a une formation classique mais il s’est fait
connaître par ses reprises. Qu’il publie notamment sur Youtube. C’est la
tête d’affiche de cette 15ème Nuit des Virtuoses. Cinq
virtuoses fouleront les planches du Théâtre Luc Donat les 6 et 7 avril
prochain. Ils seront accompagnés de musiciens réunionnais." La suite sur francetvinfo.fr
"Tribune : Zsuzsanna Szelényi, ancienne députée hongroise, experte en politique étrangère
L’experte hongroise en relations internationales Zsuzsanna Szelényi analyse, dans une tribune au « Monde », les limites de la politique étrangère radicale conduite par le premier ministre hongrois, Viktor Orban.
Les dirigeants et les diplomates européens ont poussé un soupir de soulagement en février lorsque le président du Conseil européen, Charles Michel, a annoncé l’approbation unanime d’un programme d’aide à l’Ukraine, d’un montant de 50 milliards d’euros.
Cette décision, qui témoigne de la détermination de l’Union européenne (UE) à soutenir le pays déchiré par la guerre, a été prise après des semaines de tensions particulièrement vives entre le premier ministre hongrois, Viktor Orban, et ses partenaires européens. Orban avait menacé de mettre son veto au programme d’aide, ce qui avait suscité des accusations de « chantage », tandis que certains dirigeants européens évoquaient l’idée de recourir à la procédure de l’article 7 du traité sur l’Union européenne pour priver la Hongrie de ses droits de vote, en réponse à la façon dont Orban n’a cessé de saper l’action de l’UE. Mais le résultat a fini par donner satisfaction à tout le monde.
Le Conseil européen a montré qu’en restant ferme et en faisant comprendre qu’aucune autre concession ne serait faite sur le statut des fonds structurels, l’UE pouvait obtenir ce qu’elle voulait. Quant à M. Orban, il a obtenu que deux amendements soient inclus dans le texte final pour lui permettre de sauver la face.
Contestation vigoureuseLe premier prévoit que le Conseil européen discutera du rapport annuel sur l’aide et le second que la Commission européenne gérera la procédure d’Etat de droit contre la Hongrie « de manière équitable et objective ». Les médias hongrois contrôlés par le gouvernement ont présenté cela comme des victoires historiques, péniblement concédées par l’« élite bruxelloise ». « Nous avons réussi », a proclamé un article publié sur le site officiel d’Orban.
Le premier ministre hongrois, qui critique depuis longtemps l’« élite bruxelloise », s’oppose fermement à de nombreuses politiques de l’UE et conteste vigoureusement les évaluations du bilan désastreux de la Hongrie en matière d’Etat de droit. Mais pourquoi, au cours des dernières années, Viktor Orban a-t-il fait valoir ses revendications de manière aussi radicale ?
Une partie de la réponse réside dans le fait que le gouvernement hongrois fait actuellement l’objet d’une enquête dans le cadre du mécanisme de conditionnalité de l’Etat de droit de l’UE et que des dizaines de milliards de fonds structurels sont gelés jusqu’à ce qu’il se conforme aux normes démocratiques de l’UE. Le gel des fonds a placé leur statut au centre des engagements d’Orban avec l’UE.
En 2023, après plusieurs mois d’intenses négociations qui n’ont pas permis de débloquer des fonds conséquents, Orban a changé de stratégie et a commencé à employer des moyens radicaux pour contraindre la Commission européenne à faire des concessions. Le gouvernement hongrois a ainsi annoncé qu’il mettrait son veto à une éventuelle augmentation du budget et à l’aide à l’Ukraine, cruciale pour la sécurité même de l’UE." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Consulat de Hongrie 7 Square Vergennes, 75015 Paris
Deux chanteurs brillants, deux voix inoubliables, deux talents magiques !
Les
chansons de Zsuzsa Cserháti et de Péter Máté sont encore vives dans nos
âmes, et de nombreux souvenirs y sont attachés. Leurs personnalités
uniques, leurs carrières et leurs adieux précoces sont ce qui les unit :
ils sont toujours d'actualité, ils nous parlent à tous. Ce spectacle du
Théâtre Petőfi de Veszprém, interprété par deux jeunes artistes
hongrois, donne vie à ces textes et mélodies éternels.
Avec Laura Hirschl et Márton Keller
Mise en scène : Pál Oberfrank
Textes, visuels, costumes : Zsuzsanna Kellerné Egresi
Entrée libre - Réservation obligatoire : cliquez ICI
Galerie Jocelyn Wolff 43 rue de la Commune de Paris, 93230 Romainville
Proche des dadas et surréalistes hongrois dès les années 1920, Imre Pán, homme prolifique – poète, critique, éditeur, libraire, commissaire d’exposition – participe activement à la vie culturelle de Budapest avant de s’établir à Paris en mai 1957, après l’écrasement soviétique de l’insurrection de la capitale. Proche de Corneille, d’Étienne Hajdu et de Jacques Doucet, Pán déploie à Paris une intense activité éditoriale, créant dès 1960 de nombreuses revues contenant des éditions d’artistes à tirages limités, parmi lesquelles Signe, Morphèmes et Mini-Musée.
Ardent promoteur d’une libre circulation des idées et des œuvres, il encourage les toiles de petits formats et les créations sur papier. Guidé par une grande indépendance d’esprit, il éditera presque 150 éditions originales d’artistes de tous horizons plastiques : abstractions géométriques (Marcelle Cahn, Aurelie Nemours, Wilfredo Arcay), optiques (Victor Vasarely) ou informelles (Ida Karskaya, André Marfaing ou Colette Brunschwig), ou figurations post- surréalistes, narratives ou proches des Nouveaux Réalistes (Milvia Maglione, René Bertholo, Lourdes Castro). L’exposition rassemble, autour des documents et archives personnelles d’Imre Pán, les œuvres et éditions de ces nombreux artistes.
Soirée exceptionnelle avec Brisa Roché et Ramona Horvath. Une voix inimitable, une présence sur scène inoubliable, l’artiste américaine Brisa Roché qui a été signée par la maison de disques Blue Note en 2005, est une apparition immanquable. Ramona Horvath est une pianiste avec une « technique sans faille et un toucher de velours »(Jazz Magazine) avec un parcours musical impressionnant. Sa richesse harmonique et sa sensibilité au piano en font l’une des pianistes de jazz les plus remarquables de sa génération. Ramona se produit dans différentes formations (solo, duo, trio et quartet), en France et à l’étranger. Une soirée mémorable à ne pas rater !
Réservations sur sunset-sunside.com
60 rue des Lombards
Paris 1er
"Le torchon brûle entre les quatre grands pays de l’Europe centrale. La Pologne et la République tchèque, d'un côté, la Hongrie et la Slovaquie de l'autre, ne se comprennent plus. En cause : une poignée de main qui en dit long.
La scène se déroule en Turquie, le 2 mars 2024. En marge du troisième Forum diplomatique d'Antalya, le ministre des Affaires étrangères slovaque, Juraj Blanar, serre la main de Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie russe. Un geste qui va profondément choquer l’Europe, et plus particulièrement le gouvernement tchèque. Dans la foulée, Prague suspend les consultations tchéco-slovaques sur les relations diplomatiques entre ces deux pays pourtant "cousins".
Lors d’une conférence de presse, à Prague, le 7 mars, dans une colère froide, le Premier ministre tchèque Petr Fiala déclare : "Il est impossible d’ignorer nos divergences fondamentales d’opinions sur des questions clés de politique étrangère." En cause, les relations très ambigües de Bratislava avec la Russie." La suite sur radiofrance.fr
"La Hongrie a conclu un accord avec les Émirats arabes unis pour la construction d’un nouveau quartier à Budapest censé respirer l’atmosphère de Dubaï. Le projet immobilier mené par le Premier ministre Viktor Orbán implique un investissement d’au moins cinq milliards d’euros.
Le projet immobilier, décrit dans les médias hongrois comme un “mini Dubaï”, sera construit sur les terrains de la gare désaffectée de Rákosrendező et des zones industrielles environnantes. Il s’agira d’un quartier de 130 hectares comprenant des logements, des bureaux et un grand parc.
Selon
János Lázár, ministre de l’investissement et de la construction, le
nouveau quartier devrait faire de Budapest une véritable ville mondiale,
à l’image de Dubaï. Cette ville des Émirats arabes unis est une
destination touristique populaire et connue pour ses nombreux records:
de la plus haute tour du monde au plus grand centre commercial, de la
plus haute grande roue au plus grand aquarium et à la plus grande salle
de ski couverte." La suite sur 7sur7.be
"Capitale de la Hongrie, Budapest vous fera vivre des moments inoubliables. Une ville riche en histoire, en patrimoine culturel et en beauté naturelle. Ses deux rives, Buda et Pest, se dressent de part et d’autre du Danube. Nos bons plans pour un city-trip inoubliable en toute saison.
Avant de vous envoler pour trois jours pour Budapest, il est important de connaitre la dualité de la ville. D’un côté, Buda, sur la rive droite du Danube, est l’ancienne ville royale aux ruelles médiévales et aux bâtiments historiques. À l’époque, c’était dans cette partie de la ville que le pouvoir régnait en opposition à Pest, quartier où vivait le peuple. L’autre côté de la ville est l’incarnation du dynamisme moderne. Ces deux âmes se rencontrent pour créer une cité unique.
Budapest, un city-trip magique en toute saisonAdmirez les couleurs automnales, profitez de ces lacs gelés pour
patiner l’hiver, flânez dans ses rues lors du printemps et observez les
magnifiques couchers de soleil en terrasse durant l’été. Pour explorer
la ville, optez pour les bus touristiques comme l’Hop-On-Hop-Off, vous
n’userez pas trop vos pieds. Avec une vingtaine d’arrêts stratégiques,
vous pouvez descendre et monter à votre guise, à la découverte des sites
qui vous attirent le plus. " La suite sur gael.be
«Nous marcherons vers Bruxelles», a prévenu le premier ministre hongrois lors d’un rassemblement, en vue des élections européennes et alors qu’il se prépare à assumer la présidence tournante de l'UE.
Le premier ministre hongrois Viktor Orban s'est déclaré ce vendredi prêt à marcher vers Bruxelles et à «occuper» le cœur de l'Union européenne à l'approche des élections au Parlement européen, tandis que les partis d'opposition organisaient des rassemblements anti-gouvernementaux à Budapest. Viktor Orban, au pouvoir depuis 14 ans, espère que son parti Fidesz bénéficiera d'un soutien croissant alors qu'il se prépare à assumer la présidence tournante de l'Union européenne pour le second semestre.
S'exprimant lors d'un rassemblement à Budapest
célébrant la fête nationale hongroise, qui commémore la révolution
hongroise de 1848 contre la monarchie des Habsbourg, Orban a déclaré que
les élections européennes étaient une chance de défendre la Hongrie. «Si nous voulons défendre la liberté et la souveraineté de la Hongrie, nous n'avons pas d'autre choix que d'occuper Bruxelles», a déclaré Orban devant un millier de ses partisans. «Nous marcherons vers Bruxelles et apporterons nous-mêmes le changement dans l'Union européenne.» La suite sur lefigaro.fr
"Dans une lettre publiée par le “Guardian”, le réalisateur hongrois reproche notamment au lauréat de l’Oscar du meilleur film international d’avoir eu recours à “des arguments diffusés par la propagande destinée à éradiquer toute présence juive sur Terre”.
László Nemes, le réalisateur du film Son of Saul, n’a pas aimé le discours prononcé par son collègue Jonathan Glazer, auteur de The Zone of Interest, lorsqu’il est monté sur scène pour recevoir un Oscar du meilleur film international. Et il l’a fait savoir à The Guardian, qui se fait écho de ses griefs.
S’exprimant
lors de la cérémonie à Los Angeles le dimanche 10 mars, Jonathan Glazer
a déclaré que lui et son producteur, James Wilson, se tenaient “devant
vous comme des hommes qui refusent que leur judéité et l’Holocauste
soient détournés pour une occupation qui a causé tant de souffrances
pour tant d’innocents. Qu’il s’agisse des victimes du 7 octobre en
Israël ou de celles des attaques incessantes qui se déroulent à Gaza,
elles sont toutes des victimes de cette déshumanisation.” La suite sur courrierinternational.com
"Cet accord politique au sein des Vingt-Sept a été permis après la levée du veto mis pendant des semaines par la Hongrie à ces sanctions.
L'Union européenne va annoncer lundi des sanctions contre des colons israéliens en Cisjordanie, accusés de violences contre les Palestiniens, a indiqué vendredi un haut responsable de l'UE. "Il y aura un accord politique pour des sanctions contre les colons extrémistes", à l'occasion d'une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'UE, a annoncé ce haut responsable, sous couvert d'anonymat.
Depuis l'attaque du Hamas contre Israël, le 7 octobre, et l'opération militaire israélienne lancée en représailles dans la bande de Gaza, la situation s'est encore plus tendue en Cisjordanie où au moins 430 Palestiniens ont été tués par des tirs de soldats ou de colons israéliens, selon l'Autorité palestinienne.
Cet accord politique au sein des
Vingt-Sept a été permis après la levée du veto mis pendant des semaines
par la Hongrie à ces sanctions. Aucune explication n'a été donnée sur
les raisons de ce revirement de la Hongrie. Les Etats-Unis ont annoncé
jeudi de nouvelles sanctions visant des colons israéliens en
Cisjordanie, les accusant de "saper la stabilité" du territoire
palestinien occupé par Israël." La suite sur lorientlejour.com
"Il y a quatre ans tout juste, Edouard Philippe confinait la France entière. Des vaccins contre le Covid-19 à ceux contre le cancer, la fabuleuse histoire de l'ARN messager n'en est qu'à ses débuts.
Petite scène de la vie domestique dans un futur plus ou moins éloigné : alors qu'il bricole chez lui un dimanche, Robert s'entaille la main avec son tournevis. Après le « aïe ! » et les jurons de rigueur, il se précipite dans sa cuisine, ouvre la porte de son réfrigérateur et se saisit d'une fiole de verre portant une étiquette où il est écrit : ARN messager. Il l'avale. Les instructions génétiques encodées dans le précieux contenu vont induire les cellules de Robert à synthétiser une protéine thérapeutique, laquelle va faciliter la guérison des plaies, en stimulant la formation de nouveaux vaisseaux sanguins. La main abîmée se répare. Bob le bricoleur peut retourner à ses occupations dominicales. Ainsi soit-il.
Cette
saynète vous semblera peut-être naïve, elle n'en est pas moins le rêve
qui anime depuis toujours Katalin Karikó, le but qu'elle s'est fixé dans
sa vie de chercheuse spécialiste de l'ARN messager. Katalin Karikó est
cette biochimiste d'origine hongroise subitement passée de l'ombre à la
lumière après qu'un virus jusqu'ici inconnu, le SARS-CoV-2, a mis la
planète en émoi et obligé 4,5 milliards de personnes à se calfeutrer
chez elles. En France, cela a commencé il y a tout juste quatre ans, le
17 mars 2020." La suite sur lesechos.fr (article payant)
"Porté par des sondages favorables, le haut fonctionnaire quadragénaire, membre du parti du Premier ministre hongrois, envisage de créer sa propre formation politique.
Au pouvoir depuis quatorze ans, l’autoritaire Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, semble indétrônable. Dans son camp, personne n’a jamais osé évoquer sa succession. Mais voilà qu’un cadre de l’élite dirigeante brise le tabou et s’attelle à scier les barreaux de la chaise du chef. Il y a quelques semaines, Péter Magyar était inconnu du grand public. Vendredi 15 mars, jour de fête nationale où les Hongrois commémorent la rébellion de 1848 contre l’empire des Habsbourg, il appelle à un rassemblement sur la place publique, pendant lequel il prononcera un discours à 15h30. Viktor Orbán, lui, parlera le matin, vers 11 heures. Péter Magyar avait déjà annoncé son intention de créer un parti politique. Celui-ci explose dans les sondages avec 13 % d’intentions de vote (selon l’institut indépendant Medián), alors qu’il n’a même pas vu le jour.
C’est
début février que Péter Magyar, technocrate sportif aux costumes
pervenche assortis aux yeux bleus, et qui soufflera ses 43 bougies
samedi, surgit de l’ombre. Un média indépendant révèle que, sur la liste
des personnes graciées l’an dernier par la présidente de la république, figure un condamné impliqué dans une affaire de pédocriminalité. Le 10 février, la Présidente, Katalin Novák, est poussée à la démission, suivie par la ministre..." La suite sur liberation.fr (article payant)
"La Chine se félicite de la décision de la Hongrie de faciliter l’octroi de visas aux citoyens chinois qui visitent le pays à des fins d’investissement et de coopération. Elle est également favorable à la facilitation des visas par d’autres pays, a déclaré mardi Wang Wenbin, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères (MAE), lors d’une conférence de presse de routine à Beijing.
«
L’annonce de la Hongrie concernant la délivrance de visas à entrées
multiples de cinq ans pour les citoyens chinois en voyage d’affaires est
un autre exemple du développement de haut niveau des relations
sino-hongroises, et la Chine se félicite de cette décision », a-t-il
souligné, ajoutant que la coopération bilatérale avait donné des
résultats fructueux dans le cadre du partenariat stratégique global
Chine-Hongrie." La suite sur china.org.cn
"János, c’est plus de 50 ans dédiés au hand, moitié en Hongrie, moitié en
France. Il a connu une douzaine de clubs, dont le « H » !
Il habite Vertou, pas loin du stade de foot des Échalonnières. Quand on lui parle de sa Hongrie natale ou du HBC Nantes, ses yeux s’illuminent ! À 77 ans, il n’a rien oublié.
Votre parcours ?
« Je suis né à Budapest en 1946, où j’ai vécu près de 40 ans.
J’ai fait des études d’ajusteur et passé mon bac. Je joue au hand au
Spartacus dès 14 ans. International jeunes à 19 ans, j’intègre l’équipe A
de Hongrie pendant 7 ans, cumulant 125 sélections de 1968 à 1975. Je
fais le championnat du monde en France en 1970, où mon pays..." La suite sur ouest-france.fr (article payant)
"ANALYSE - Sur l’échiquier européen se dessine une grande bataille pour les cœurs de la droite national-conservatrice décomplexée. Celle qui oppose le premier ministre hongrois à la présidente du Conseil italienne.
À l’approche des élections européennes de juin se dessine une grande bataille pour les cœurs de la droite national-conservatrice décomplexée. Celle qui oppose le «modèle» du premier ministre hongrois, Viktor Orban, à celui de la présidente du Conseil italienne, Giorgia Meloni. Pour comprendre ce duel en gestation, il s’agit de bien qualifier ce que l’on voit. Or, souvent, la facilité, l’idéologie ou la mauvaise foi s’en mêlent. Le concept de «postfascisme», «utilisé sans parcimonie par une partie des médias occidentaux lors de la victoire de Giorgia Meloni aux élections européennes» , s’est révélé erroné, rappelle Thibault Muzergues dans son livre passionnant Postpopulisme, qui scrute les populismes européens, leurs évolutions et surtout leurs «successeurs» politiques.Un an après l’arrivée de la patronne des Frères d’Italie aux affaires, «pas de chemises noires dans les rues de Rome et de Milan. Pas de menace sur les libertés fondamentales», constate-t-il. Sans doute parce que l’expression…" La suite sur lefigaro.fr (article payant)
"Les députés contestent la légalité de la libération de dix milliards pour Budapest, intervenue en décembre. Le Parlement a confirmé ce midi qu’il demanderait à la Cour de justice de l’UE de statuer sur le sujet.
En décembre, la veille d’un
Conseil européen pris en otage par Viktor Orban, la Commission
européenne avait décidé de libérer environ un tiers des fonds destinés à
la Hongrie, et gelés pour non-respect des valeurs fondamentales de
l’Union. La mise à disposition de Budapest de ces dix milliards avait
surpris, au mieux par le timing, au pire quant à sa pertinence. En
coulisses, nombre de voix dénonçaient une décision aux motivations
politiques bien plus que juridiques. La critique avait ensuite enflé
dans les travées du Parlement. En janvier, à Strasbourg, les députés
avaient menacé l’exécutif communautaire d’une action devant la Cour de
justice de l’UE." La suite sur lesoir.be
"Même si la Hongrie est enclavée et dépourvue d’accès à l'océan, les opportunités de se baigner ne manquent pas dans ce pays, grâce à de très nombreuses sources d'eau thermale. Avec plus de 1300 sources aux propriétés thérapeutiques variées, cette destination thermale est l'une des plus réputées d'Europe. Nous avons sélectionné 5 lieux à découvrir absolument pour expérimenter le thermalisme en Hongrie.
1- Les bains turcs de Budapest."Le gouvernement hongrois s'engage à rétablir l'équilibre du budget central le plus rapidement possible ainsi qu'à maintenir le déficit aussi bas que possible et la dette publique sur une trajectoire descendante, a déclaré mardi le ministre des Finances Mihály Varga à Bruxelles.
La croissance économique dépend dans une large mesure de la fin de la guerre entre la Russie et l'Ukraine, a déclaré Varga aux journalistes hongrois après une réunion du Conseil Ecofin.
Même si l'inflation a diminué plus rapidement, cela ne s'est pas accompagné d'une croissance économique, a déclaré le ministre. Les économies stagnent, a-t-il déclaré, ajoutant que ce n'était « pas un hasard » si la Commission européenne a abaissé la prévision de croissance pour le bloc pour cette année, passant de 0.9 % à 1.3 %. Les perspectives économiques de la Hongrie sont toutefois positives, a-t-il déclaré, citant les prévisions de croissance du PIB de la CE pour 2024, de 2.4 pour cent pour cette année et de 3.6 pour cent pour 2025." La suite sur dailynewshungary.com
"Alors que Vladimir Poutine devrait être réélu sans entrave à la fin de la semaine à la présidence de la Russie, et pour cause, aucun opposant n’a été autorisé à se présenter. La propagande russe ne se limite pas à ses simples frontières. Elle a réussi à infiltrer de nombreux partis européens situés aux deux extrêmes de l’échiquier, mais aussi certains pays.
Le régime du Premier ministre hongrois Viktor Orban en est un. Et si
l’on en croit les sondages, la majorité des Hongrois est derrière lui.
Seuls 16% d’entre eux estiment que l’Europe devrait soutenir l’Ukraine
et 64% pensent qu’il faudrait plutôt pousser à la signature d’un accord
de paix. Des chiffres qui contrastent avec le reste de l’opinion
publique européenne. Comment expliquer cette différence ? C’est le reportage à Budapest de Florence Labruyère." La suite et à écouter sur rfi.fr
"Malgré un coût de la main-d’œuvre attractif, les agriculteurs hongrois s’essaient à la robotisation. Preuve en est sur la Emod Mezogazdasagi Farm, qui a abandonné la désileuse et le roto de traite au profit des robots de traite et d’alimentation. Entre bâtiments d’époque et dernières technologies, le résultat détonne !
À l’image des fermes laitières hongroises, l’agriculteur compose avec l’existant pour automatiser sa structure. Et pour cause, certains bâtiments datent encore de l’époque soviétique. L’austérité des murs en bétons gris tranche avec les robots de traite
dernier cri. Les anciens tracteurs Belarus et autres Zetor côtoient les
machines d’aujourd’hui, et la cuisine du robot d’alimentation flambant
neuf dénote face au rudimentaire du stockage de fourrage. Entre vestiges
du passé, et dernières technologies (l’exploitation compte parmi les
premières fermes hongroises à avoir installé un robot d’alimentation)
l’étable rassemble pas moins de 420 vaches laitières." La suite sur web-agri.fr
La Hongrie a convoqué ce mardi 12 mars l’ambassadeur des États-Unis après les récents propos du président Joe Biden, qui a accusé le Premier ministre nationaliste Viktor Orban de vouloir instaurer une « dictature ».
Le dirigeant hongrois était la semaine dernière de passage en Floride où il a rencontré son « bon ami » Donald Trump, dont il est l’un des rares en Europe à souhaiter la victoire à la présidentielle de novembre. Une entrevue fustigée par le locataire de la Maison Blanche, alors que les relations entre les deux pays sont exécrables.
« Vous savez qui il rencontre aujourd’hui à Mar-a-Lago ? », avait lancé Joe Biden à ses partisans lors d’un meeting de campagne vendredi. « Orban de Hongrie, qui a déclaré purement et simplement qu’il ne pensait pas que la démocratie fonctionnait et qu’il cherchait (à établir) la dictature. » La suite sur sudouest.fr
"En janvier dernier, la Hongrie réfractaire à une nouvelle aide à l’Ukraine s’est vue menacée économiquement par la Commission européenne. En cela, «l’action coercitive de Bruxelles contre les Etats membres déviants [a] franchi un nouveau palier», s’alarme Pierre Rimbert.
A quatre mois des élections européennes, un événement éclaire le paysage
radieux de la démocratie au sein de l’Union: pour châtier la Hongrie,
dont le premier ministre refusait en janvier dernier d’entériner un plan
d’aide de 50 milliards d’euros à l’Ukraine, Bruxelles a tout simplement
menacé de détruire son économie. Les détails ont été révélés par le Financial Times (29 janvier 2024)1.
«Bruxelles a mis au point une stratégie visant à cibler explicitement
les faiblesses économiques de la Hongrie, à mettre en péril sa monnaie
et à provoquer un effondrement de la confiance des investisseurs afin de
nuire à ‘l’emploi et à la croissance’ si Budapest refuse de lever son
veto contre l’aide accordée à Kiev», explique le quotidien d’affaires
britannique, qui a eu accès aux documents. Concrètement, si M. Viktor
Orbán n’alignait pas sa politique étrangère sur celle de ses homologues,
«ces derniers s’engageraient publiquement à couper tout financement
européen à Budapest dans l’intention d’effrayer les marchés, de
déclencher une crise monétaire sur le forint, et de faire exploser le
coût des emprunts du pays». Trois jours plus tard, le 1er février, M.
Orbán capitulait." La suite sur lecourrier.ch
Environ 35 personnes ont pu se serrer
dans la petite librairie, pour écouter, participer et échanger sur ce
roman. Celui-ci sera prochainement traduit en hongrois par Gábor Csordás
et publié par János Kőbányai chez Múlt és Jövő kiadó. La discussion a
d’ailleurs été ouverte par la lecture d’un texte, lu d’abord en français
puis ensuite en hongrois, illustrant les différents échanges entre les
deux pays." La suite sur jfb.hu
"La commission des affaires juridiques du Parlement européen s'est prononcée en faveur d'une saisine de la justice de l'UE contre la décision de la Commission de dégeler 10,2 milliards d'euros pour la Hongrie. L'annonce avait suscité des protestations au sein du Parlement européen, où des élus avaient reproché à Bruxelles d'avoir « cédé au chantage » de Viktor Orban, le Premier ministre.
Le Parlement européen contre la Commission européenne. La commission des affaires juridiques du Parlement s'est prononcée ce mardi en faveur d'une saisine de la justice de l'UE pour annuler le dégel de 10,2 milliards d'euros pour la Hongrie.
L'exécutif européen s'était
dit favorable mi-décembre à dégeler 10,2 milliards d'euros pour la
Hongrie. Un mois plus tard, le Parlement contestait la décision de la
Commission européenne. Le texte, qui n'est pas contraignant, avait été
voté par 345 voix pour et 104 contre." La suite sur latribune.fr
"Depuis son retour au pouvoir en 2010, Viktor Orban, Premier ministre hongrois, n’a cessé d’affirmer son euroscepticisme. S'il critique vivement l’UE, ce n’est pas tant dans le but d’en sortir, mais plutôt pour façonner une Europe à son image. Quel est le projet politique derrière ces critiques ?
Alors
que le pays traverse une crise institutionnelle majeure avec un
scandale d’Etat sur fond de pédocriminalité, le Premier ministre
hongrois Viktor Orban a démarré sa campagne pour les européennes avec
une consultation en novembre intitulée “Défendre la souveraineté
nationale face à Bruxelles.” Il a également fait adopter une loi dite
“de souveraineté” fin décembre 2023 afin d’affaiblir les partis et
médias d’opposition en criminalisant le financement étranger de ces
organisations, taxées d’“agent de l’étranger”. Une “autorité de
surveillance de la souveraineté nationale” chargée de surveiller les
“risques d’influence étrangère” a été instaurée via cette loi. Mais
cette loi fait justement l’objet d’une procédure d’infraction lancée par
la Commission le 7 février." La suite et à écouter (57 MIN) sur radiofrance.fr
"Le FTV Ferencvaros s'est imposé hier en finale de la coupe de Hongrie féminine face à Gyor dans un match à suspens. A une semaine de son 8èmes de finales de ligue des champions face à Brest, l'actuel leader du championnat magyare est vraiment en forme." La suite sur handnews.fr
"Le Premier ministre hongrois, seul dirigeant dans l’UE à avoir maintenu des liens étroits avec le Kremlin, était en déplacement aux États-Unis.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, de retour des États-Unis, a affirmé que Donald Trump lui avait assuré qu’il « ne donnerait pas un centime » à l’Ukraine - une déclaration que l’équipe de l’ex-président américain n’a pas commentée lundi.
Viktor
Orban, seul dirigeant dans l’UE à avoir maintenu des liens étroits avec
le Kremlin malgré l’invasion russe de l’Ukraine, a rencontré vendredi
le candidat républicain dans son fief de Floride." La suite sur leparisien.fr
Prochaine rencontre
«Qu’est-ce que ta tasse à café fiche dans le congélo ?» John pose cette question sans agressivité à sa femme, quelques jours après qu’elle a accouché. Leur fille s’appelle Button, ce qui en anglais signifie bouton. Un bouton sert à attacher deux tissus l’un à l’autre ou à mettre en marche quelque chose, en l’occurrence la maternité, qui ne s’éteint jamais : «Il n’y a personne pour vous apprendre que la maternité, c’est pour toujours.» La narratrice a parfois envie de poser Button quelque part comme si elle était un «objet». Au corps nu de sa fille, elle trouve des airs de poulet : «Si facile à trancher, mais je ne devrais pas laisser surgir cette idée.» Ce premier roman écrit en anglais par une autrice new-yorkaise, née en Hongrie et ayant grandi en Suède, raconte la découverte progressive, par une femme, de la métamorphose de son corps et de son âme après la naissance de son enfant.
Sous une forme romanesque, à la première personne du singulier et avec un humour contenu (car elle n’a pas toujours le cœur à rire), l’autrice détaille l’état hallucinatoire d’une jeune mère, ce que Donald Winnicott a théorisé en des termes psychanalytiques. Elle flotte tout en étant empâtée, elle ne sent pas le temps passer mais la fatigue la plombe au point qu’elle rêve de dormir des jours d’affilée. Elle est attentive à tout et indifférente à la fois. Quand le lait monte dans ses seins, elle pourrait «grimper aux murs» tant la douleur est cuisante..." La suite sur liberation.fr (article payant)
"La cérémonie d'investiture du nouveau président hongrois Tamas Sulyok s'est tenue dimanche devant le palais Sandor, la résidence officielle du président hongrois.
La cérémonie s'est ouverte par un salut militaire, suivi d'une procession de drapeaux historiques et d'une série de spectacles.
"A
compter de ce jour, ma mission et mon mandat seront certes différents
de ce que j'ai fait par le passé, mais mes valeurs fondamentales
resteront les mêmes que celles auxquelles j'ai toujours adhéré avec
fermeté et fidélité", a déclaré M. Sulyok dans son discours inaugural,
retransmis en direct par la télévision publique hongroise." La suite sur china.org.cn
"Le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orbán a souhaité, vendredi 8 mars, la victoire de son allié de longue date, Donald Trump, à l'élection présidentielle américaine du 5 novembre. Les deux hommes, qui ne cachent pas leur proximité idéologique, se sont rencontrés en Floride.
Viktor Orbán pose volontiers aux côtés de l’homme d’affaires et favori du parti républicain. Le cliché a aussitôt été publié sur Facebook dans la soirée du vendredi 8 mars, accompagné du slogan de Trump : « Make America great again » (ou « Rendons sa grandeur à l’Amérique »).« Nous avons besoin de dirigeants respectés dans le monde, capables d’apporter la paix. Il est l’un d’entre eux. Revenez et apportez-nous la paix, M. le Président ! » a encore déclaré le Premier ministre nationaliste hongrois sur la plate-forme X à l’issue de son entretien avec l’ancien président américain en Floride.
Viktor
Orbán se montre très présent et multiplie les marques de soutien à son
« bon ami ». Il mise sur Donald Trump, estimant que c’est « la seule
approche sensée pour la Hongrie », dans une déclaration du début de
semaine." La suite sur lopinion.fr
"Le premier ministre hongrois, qui a rencontré vendredi l’ex-président américain, s’est vu accuser par l’actuel président en campagne de vouloir instaurer une «dictature».
Le président américain Joe Biden a critiqué ce vendredi 8 mars son rival républicain Donald Trump pour sa rencontre avec Viktor Orban, jugeant le premier ministre hongrois cherchait à instaurer une «dictature». Ce dernier a rencontré son «bon ami» Donald Trump dans son fief de Floride. Il est l'un des rares dirigeants européens à souhaiter la victoire du candidat républicain à la présidentielle de novembre face au démocrate Joe Biden.
«Vous savez qui il rencontre aujourd'hui à Mar-a-Lago ?», a lancé Joe Biden à ses partisans lors d'un meeting de campagne. «Orban
de Hongrie, qui a déclaré purement et simplement qu'il ne pensait pas
que la démocratie fonctionnait et qu'il recherchait (à établir) la
dictature». «Je vois un avenir où nous défendons la démocratie, pas où nous l'affaiblissons», a martelé le démocrate de 81 ans ayant fait de ce thème l'un de ses arguments de campagne contre Donald Trump." La suite sur lefigaro.fr